Selon certains articles de presse, Alain Juppé et Michel Platini ne se seraient pas compris à propos du partage des retombées financières de l'Euro de football 2016. Bordeaux qui a en charge la construction du nouveau grand stade, aimerait bien, comme les autres villes d'accueil, pouvoir obtenir une part de la manne. Dans ce contexte Alain Juppé précise par un communiqué:
"Je me suis, dans le cadre des discussions engagées avec l’UEFA par le club des villes hôtes de l’Euro 2016, entretenu avec Michel Platini le 11 septembre dernier pour évoquer « l’héritage » de la compétition sur les sites d’accueil.
Contrairement à des commentaires lus çà et là, il n’existe pas de polémique entre l’UEFA et les villes hôtes. Certes, nos points de vue n’ont pas été spontanément convergents mais nous sommes toujours dans une phase de dialogue avec, je l’ai bien noté, la volonté du président de l’UEFA de porter une oreille attentive à notre demande.
L’Euro 2016 doit être une grande fête populaire mais les villes hôtes qui assument une large partie des coûts des animations autour de l’événement considèrent que celui-ci devrait aussi avoir des retombées permettant de financer des équipements sportifs de proximité dans nos quartiers.
Cette discussion se poursuivra d’ailleurs lors de la tenue du comité de pilotage de l’Euro 2016 le 23 octobre prochain à Bordeaux.
Je suis convaincu que nous trouverons un terrain d’entente."
"Je me suis, dans le cadre des discussions engagées avec l’UEFA par le club des villes hôtes de l’Euro 2016, entretenu avec Michel Platini le 11 septembre dernier pour évoquer « l’héritage » de la compétition sur les sites d’accueil.
Contrairement à des commentaires lus çà et là, il n’existe pas de polémique entre l’UEFA et les villes hôtes. Certes, nos points de vue n’ont pas été spontanément convergents mais nous sommes toujours dans une phase de dialogue avec, je l’ai bien noté, la volonté du président de l’UEFA de porter une oreille attentive à notre demande.
L’Euro 2016 doit être une grande fête populaire mais les villes hôtes qui assument une large partie des coûts des animations autour de l’événement considèrent que celui-ci devrait aussi avoir des retombées permettant de financer des équipements sportifs de proximité dans nos quartiers.
Cette discussion se poursuivra d’ailleurs lors de la tenue du comité de pilotage de l’Euro 2016 le 23 octobre prochain à Bordeaux.
Je suis convaincu que nous trouverons un terrain d’entente."