Les tracteurs contre le coronavirus
Vérifications à l'entrée des usines Same (DR)
Le groupe SDF (tracteurs et machines agricoles, Same-Deutz-Fahr), troisième constructeur mondial) et la Fondation Same ont décidé d'apporter leur contribution à la recherche contre le COVID-19 en Italie. Same annonce en même temps la réouverture de son usine de Treviglio, à l'Est de Milan, avec un dispositif sécuritaire approprié.
Le bénéficiaire de ce soutien est l'IRCCS - Ospedale San Raffaele di Milano qui est engagé en première ligne dans cette bataille avec des projets de recherche et des ressources visant à lutter contre COVID-19.
S'appuyant sur une relation consolidée avec cet hôpital de recherche italien de premier plan, SDF et la Fondazione SAME ont décidé de soutenir financièrement deux projets importants en faisant un don de 800 000 euros.
Le premier projet dirigé par le professeur Giancarlo Comi, directeur de l'Institut de neurologie expérimentale, étudiera l'utilisation de l'hydroxychloroquine à des fins préventives.
Il est à cette occasion rappelé que l'hydroxychloroquine est un médicament antipaludéen qui est également utilisé pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et du lupus érythémateux disséminé. Dans cette situation d'urgence, le corps médical dans les hôpitaux qui traitent les patients atteints de COVID-19 courent un risque élevé d'infection et paient le prix fort, allant même jusqu’à la mort, pour leurs efforts.
capable d'étudier des modèles animaux avec des technologies de pointe.
Le bénéficiaire de ce soutien est l'IRCCS - Ospedale San Raffaele di Milano qui est engagé en première ligne dans cette bataille avec des projets de recherche et des ressources visant à lutter contre COVID-19.
S'appuyant sur une relation consolidée avec cet hôpital de recherche italien de premier plan, SDF et la Fondazione SAME ont décidé de soutenir financièrement deux projets importants en faisant un don de 800 000 euros.
Le premier projet dirigé par le professeur Giancarlo Comi, directeur de l'Institut de neurologie expérimentale, étudiera l'utilisation de l'hydroxychloroquine à des fins préventives.
Il est à cette occasion rappelé que l'hydroxychloroquine est un médicament antipaludéen qui est également utilisé pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et du lupus érythémateux disséminé. Dans cette situation d'urgence, le corps médical dans les hôpitaux qui traitent les patients atteints de COVID-19 courent un risque élevé d'infection et paient le prix fort, allant même jusqu’à la mort, pour leurs efforts.
L'étude PRECOV, qui couvrira 800 médecins et infirmières travaillant activement pour lutter contre la pandémie à Ospedale San Raffaele, vise à déterminer si la prise préventive d'hydroxychloroquine peut réduire le risque d'infection et affecter la progression de la maladie.Un deuxième projet sera également financé, celui dirigé par le professeur Luca Guidotti, directeur scientifique adjoint à Ospedale San Raffaele, et professeur de pathologie générale à l'Université Vita-Salute San Raffaele, qui appelle à la création du seul laboratoire de biosécurité de haut niveau en Italie et dans le monde où l'étude in vivo d'infections telles que COVID-19 sur des modèles animaux peut être menée à l'aide de techniques d'imagerie avancées et de séquençage unicellulaire. L'objectif du projet est de créer un laboratoire de biosécurité de haut niveau (niveau P3)
capable d'étudier des modèles animaux avec des technologies de pointe.