Le SERCE, Syndicat des entreprises de génie électrique et climatique, (270 adhérents, 150 000 salariés, 15 milliards de chiffre d’affaires) s’associe avec les représentants de la filière photovoltaïque en réaction au projet de décret du gouvernement qui,selon cette organisation, "met en péril l’avenir du photovoltaïque en France". Représentant les installateurs, le SERCE tient à souligner "que la profession va se trouver pénalisée alors que cette activité a permis de soutenir l’emploi au niveau local, à un moment où la conjoncture économique était particulièrement difficile". Les entreprises installatrices sont très inquiètes sur le devenir du travail engagé depuis deux ans. Dans un communiqué commun les structures de la filière photovoltaïque affirment notamment que "la France ne doit pas devenir le pays du soleil couchant".
Appel solennel- "L’abandon de la filière,estime le SERCE, se traduirait concrètement par des fermetures d’entreprises, mais aussi comme un signal négatif à la diversification énergétique et au changement de paradigme reposant sur la sobriété et l’efficacité énergétiques couplées à un recours substantiel à l’énergie solaire.Il n’est ni trop tard pour revoir un texte dangereux, ni trop tôt pour engager notre pays sur une trajectoire énergétique associant prospérité, création d’emplois et lutte contre le changement climatique.Nous demandons solennellement au Gouvernement de réaffirmer son ambition pour la filière en amendant dans un sens constructif le projet de texte lors de son examen par le Conseil Supérieur de l’énergie le 2 mars prochain et en ouvrant rapidement, dans l’esprit du Grenelle."
Appel solennel- "L’abandon de la filière,estime le SERCE, se traduirait concrètement par des fermetures d’entreprises, mais aussi comme un signal négatif à la diversification énergétique et au changement de paradigme reposant sur la sobriété et l’efficacité énergétiques couplées à un recours substantiel à l’énergie solaire.Il n’est ni trop tard pour revoir un texte dangereux, ni trop tôt pour engager notre pays sur une trajectoire énergétique associant prospérité, création d’emplois et lutte contre le changement climatique.Nous demandons solennellement au Gouvernement de réaffirmer son ambition pour la filière en amendant dans un sens constructif le projet de texte lors de son examen par le Conseil Supérieur de l’énergie le 2 mars prochain et en ouvrant rapidement, dans l’esprit du Grenelle."