Dans le cadre des initiatives visant à lutter contre la propagation du virus COVID-19, de strictes mesures de confinement de la population ont été décidées par le gouvernement depuis le 16 mars. Un durcissement est intervenu le 23 mars avec l'interdiction de la tenue des marchés, couverts ou non. Une mesure qui avait semé l'inquiétude du côté des agriculteurs attachés à ces marchés locaux.
Toutefois, le décret officiel prévoit que le représentant de l’État dans le département peut, après avis du maire, accorder une autorisation d'ouverture pour les marchés alimentaires afin de répondre à un besoin avéré et signalé d'approvisionnement de la population, sous réserve du respect de certaines conditions permettant la sécurisation sanitaire des commerçants et des clients.
Ces conditions -que l'on trouve dans le détail sur les site de la FNSEA ou de la Coordination Rurale, sont nombreuses et particulièrement contraignantes, pouvant même paraître dissuasives. Les autorités ont à cet effet défini un protocole et élaboré un guide qui stipule notamment que l'on doit:
-étendre l’implantation du marché afin de mieux séparer les commerces/ étals ;
-organiser et étendre éventuellement les horaires afin d’éviter les pics de fréquentation ;
- limiter la fréquentation du marché à un membre par foyer ;
- réaliser une vérification de la suspension de l'activité de certains commerçants (vente de produits n’entrant pas dans la liste des dérogations).
Seuls les étals alimentaires sont autorisés .
-réguler l’entrée des personnes dans le marché afin de pouvoir respecter les consignes d’espacement au minimum d’un mètre entre les clients ;
- obliger les clients à réaliser une friction hydroalcoolique des mains à l’entrée et à la sortie du marché ;
-définir un sens de circulation unique obligatoire à l’intérieur du marché ;
-etc....
La FNSEA se félicite de cette dérogation en ces terme: "Grâce à ce protocole, il est possible de concilier les deux priorités, d'une part garantir la sécurité sanitaire pour la population, y compris les professionnels et leurs salariés, et d'autre part assurer la mission d'approvisionnement de la population en produits frais.
Les maires et les préfets doivent maintenant utiliser ce guide pour rouvrir les marchés locaux qu’ils soient ouverts ou fermés quand les conditions sont réunies. C’est essentiel pour l’alimentation des populations, et la continuité de la vie économique dans les territoires".
Toutefois, le décret officiel prévoit que le représentant de l’État dans le département peut, après avis du maire, accorder une autorisation d'ouverture pour les marchés alimentaires afin de répondre à un besoin avéré et signalé d'approvisionnement de la population, sous réserve du respect de certaines conditions permettant la sécurisation sanitaire des commerçants et des clients.
Ces conditions -que l'on trouve dans le détail sur les site de la FNSEA ou de la Coordination Rurale, sont nombreuses et particulièrement contraignantes, pouvant même paraître dissuasives. Les autorités ont à cet effet défini un protocole et élaboré un guide qui stipule notamment que l'on doit:
-étendre l’implantation du marché afin de mieux séparer les commerces/ étals ;
-organiser et étendre éventuellement les horaires afin d’éviter les pics de fréquentation ;
- limiter la fréquentation du marché à un membre par foyer ;
- réaliser une vérification de la suspension de l'activité de certains commerçants (vente de produits n’entrant pas dans la liste des dérogations).
Seuls les étals alimentaires sont autorisés .
-réguler l’entrée des personnes dans le marché afin de pouvoir respecter les consignes d’espacement au minimum d’un mètre entre les clients ;
- obliger les clients à réaliser une friction hydroalcoolique des mains à l’entrée et à la sortie du marché ;
-définir un sens de circulation unique obligatoire à l’intérieur du marché ;
-etc....
La FNSEA se félicite de cette dérogation en ces terme: "Grâce à ce protocole, il est possible de concilier les deux priorités, d'une part garantir la sécurité sanitaire pour la population, y compris les professionnels et leurs salariés, et d'autre part assurer la mission d'approvisionnement de la population en produits frais.
Les maires et les préfets doivent maintenant utiliser ce guide pour rouvrir les marchés locaux qu’ils soient ouverts ou fermés quand les conditions sont réunies. C’est essentiel pour l’alimentation des populations, et la continuité de la vie économique dans les territoires".