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La Gironde face aux dépenses sociales
Ce lundi 13 novembre 2023, l’assemblée départementale réunie en séance plénière dans l’hémicycle Philippe Madrelle a débattu de la décision modificative du budget.
À cette occasion, Jean-Luc Gleyze, président du Département de la Gironde, a rappelé que cette étape budgétaire se construit dans un contexte de conséquences économiques brutales sur les recettes de l’institution, notamment liées à la crise de l’immobilier et face à des dépenses sociales croissantes et incompressibles.
L’assemblée départementale a travaillé à la mise en place d’une modulation tarifaire dans les EHPAD habilités à l’aide sociale à l’hébergement. Cette expérimentation permettra d’être plus sensible aux moyens financiers des résidentes et des résidents des établissements. Elle répond au principe d'équité pour les résidents et à la nécessité de donner une respiration à ces établissements qui sont des services d'utilité publique.
« Nous avons besoin de savoir quelles sont les priorités nationales sur les solidarités, la santé, l’autonomie, la pauvreté – bref, quelle est l’ambition nationale, quels moyens et quelles prospectives ? » a déclaré Jean-Luc Gleyze
Par ailleurs, l’action du Département se manifeste par une grande diversité de services tournés vers les plus démunis et les plus fragilisés. Ces actions ne peuvent qu’être conduites par un travail partenarial avec l’Agence Régionale de Santé qui présente aujourd’hui son plan régional de santé révisé.
L’assemblée délibérante girondine, en sa qualité de cheffe de file des solidarités, de la prévention et du prendre soin pour près de 1,7 millions de girondins, salue le travail partenarial engagé autour du projet régional de santé mais craint que les moyens alloués ne soient pas suffisants pour compenser les manques auxquels nous devrons faire face dans les 5 années à venir, période d’application des PRS révisés, et surtout pour répondre aux besoins présents des Girondines et des Girondins en matière de soins et de santé.
« Faute de vision nationale, nous avons notre « méthode girondine » pour promouvoir l’accès à la santé, aux soins, aux droits et faire évoluer les regards sur ce qu’accompagner veut dire, en favorisant une approche émancipatrice qui cultive le pouvoir d’agir. » a souligné Jean-Luc Gleyze.
À cette occasion, Jean-Luc Gleyze, président du Département de la Gironde, a rappelé que cette étape budgétaire se construit dans un contexte de conséquences économiques brutales sur les recettes de l’institution, notamment liées à la crise de l’immobilier et face à des dépenses sociales croissantes et incompressibles.
L’assemblée départementale a travaillé à la mise en place d’une modulation tarifaire dans les EHPAD habilités à l’aide sociale à l’hébergement. Cette expérimentation permettra d’être plus sensible aux moyens financiers des résidentes et des résidents des établissements. Elle répond au principe d'équité pour les résidents et à la nécessité de donner une respiration à ces établissements qui sont des services d'utilité publique.
« Nous avons besoin de savoir quelles sont les priorités nationales sur les solidarités, la santé, l’autonomie, la pauvreté – bref, quelle est l’ambition nationale, quels moyens et quelles prospectives ? » a déclaré Jean-Luc Gleyze
Par ailleurs, l’action du Département se manifeste par une grande diversité de services tournés vers les plus démunis et les plus fragilisés. Ces actions ne peuvent qu’être conduites par un travail partenarial avec l’Agence Régionale de Santé qui présente aujourd’hui son plan régional de santé révisé.
L’assemblée délibérante girondine, en sa qualité de cheffe de file des solidarités, de la prévention et du prendre soin pour près de 1,7 millions de girondins, salue le travail partenarial engagé autour du projet régional de santé mais craint que les moyens alloués ne soient pas suffisants pour compenser les manques auxquels nous devrons faire face dans les 5 années à venir, période d’application des PRS révisés, et surtout pour répondre aux besoins présents des Girondines et des Girondins en matière de soins et de santé.
« Faute de vision nationale, nous avons notre « méthode girondine » pour promouvoir l’accès à la santé, aux soins, aux droits et faire évoluer les regards sur ce qu’accompagner veut dire, en favorisant une approche émancipatrice qui cultive le pouvoir d’agir. » a souligné Jean-Luc Gleyze.
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