La Fédération régionale de Nouvelle-Aquitaine d'agriculture biologique jette un nouveau cri d'alarme face à des risques de remise en cause:
"A l’approche du Salon de l’Agriculture et alors que la Loi d’Orientation Agricole (LOA) sera votée ce mardi 18 février, le réseau Bio Nouvelle-Aquitaine tire la sonnette d’alarme. Face aux contradictions et aux injonctions paradoxales des politiques publiques, l’agriculture biologique, pourtant essentielle pour l’avenir de notre alimentation, de notre environnement et des générations futures, est menacée.
Le précédent projet de LOA reconnaissait l’importance de la bio en inscrivant un objectif de 21 % de surfaces agricoles utiles (SAU) en bio d’ici 2030. Cependant, cet engagement est en passe d’être abandonné au profit d’une vision court-termiste de l’agriculture. Or, cet objectif est bien plus qu’une promesse : il est déjà inscrit dans la Stratégie Nationale Biodiversité et dans la Planification Écologique. L’inclure dans la LOA garantirait la cohérence des politiques publiques et enverrait un signal clair et stable aux 60 000 fermes bio françaises. Supprimer cette ambition reviendrait à priver la France d’un modèle agricole durable et plus que nécessaire."
Le réseau Bio Nouvelle-Aquitaine appelle la Commission mixte paritaire qui se réunira ce 18 février à :
-Maintenir l’objectif des 21 % de surfaces bio en 2030 dans la LOA, pour donner un cap clair aux agriculteurs et assurer la cohérence des politiques publiques.
-Refuser tout recul sur l’interdiction des pesticides dangereux.
-Soutenir un modèle agricole qui protège les agriculteurs et ne les enferme pas dans la dépendance aux intrants chimiques.
-Garantir un cadre incitatif pour le bio, plutôt que de le fragiliser davantage.
Soutenir l’agriculture biologique, c’est faire le choix d’un modèle durable, créateur d’emplois, protecteur de notre santé et de notre environnement. Il est encore temps d’agir.
"A l’approche du Salon de l’Agriculture et alors que la Loi d’Orientation Agricole (LOA) sera votée ce mardi 18 février, le réseau Bio Nouvelle-Aquitaine tire la sonnette d’alarme. Face aux contradictions et aux injonctions paradoxales des politiques publiques, l’agriculture biologique, pourtant essentielle pour l’avenir de notre alimentation, de notre environnement et des générations futures, est menacée.
Le précédent projet de LOA reconnaissait l’importance de la bio en inscrivant un objectif de 21 % de surfaces agricoles utiles (SAU) en bio d’ici 2030. Cependant, cet engagement est en passe d’être abandonné au profit d’une vision court-termiste de l’agriculture. Or, cet objectif est bien plus qu’une promesse : il est déjà inscrit dans la Stratégie Nationale Biodiversité et dans la Planification Écologique. L’inclure dans la LOA garantirait la cohérence des politiques publiques et enverrait un signal clair et stable aux 60 000 fermes bio françaises. Supprimer cette ambition reviendrait à priver la France d’un modèle agricole durable et plus que nécessaire."
Le réseau Bio Nouvelle-Aquitaine appelle la Commission mixte paritaire qui se réunira ce 18 février à :
-Maintenir l’objectif des 21 % de surfaces bio en 2030 dans la LOA, pour donner un cap clair aux agriculteurs et assurer la cohérence des politiques publiques.
-Refuser tout recul sur l’interdiction des pesticides dangereux.
-Soutenir un modèle agricole qui protège les agriculteurs et ne les enferme pas dans la dépendance aux intrants chimiques.
-Garantir un cadre incitatif pour le bio, plutôt que de le fragiliser davantage.
Soutenir l’agriculture biologique, c’est faire le choix d’un modèle durable, créateur d’emplois, protecteur de notre santé et de notre environnement. Il est encore temps d’agir.