J. Le Divellec, G. de Fontenay, P.Bonte (ph RM)
Le chef Jacques Le Divellec et le journaliste Pierre Bonte aiment les fruits de la mer et de la terre. Une gourmandise de la vie qu’ils entretiennent depuis quatre fois vingt ans. Jacques continue d’œuvrer dans son restaurant de l’esplanade des Invalides où politiques, chefs d’entreprise, artistes et journalistes ont leur rond de serviette et il est toujours prêt à parcourir le monde à la recherche d’autres saveurs. Pierre reste le chantre de nos terroirs et provinces dans « Midi en France » sur France 3. Les deux amis qui ne manquent pas d’humour avaient choisi de souffler ensemble leurs 160 bougies en faisant une fête sous la bannière des « Octogénaires associés ».
Un cadre prestigieux, les salons historiques du Shangri-La Hôtel, des plats mitonnés par le chef du palace, du caviar servi sans parcimonie, des homards, huîtres de Marennes-Oléron et plates de Bretagne, neuf buffets de cuisine marine symbolisant les voyages au long cours du célèbre charentais, des centaines d’invités pour accompagner cet anniversaire, la fête fut mardi soir à la mesure de leur enthousiasme toujours juvénile.Le Landais Alain Ducasse qui totalise le plus grand nombre d’étoiles de l’histoire de la gastronomie, l’homme d’affaires libournais Jean-René Fourtou (Vivendi), les anciens ministres Claude Allègre, Dominique Bussereau, Christian Blanc, Rachida Dati.
Présent également le député Henri Guaino, ancienne plume de Nicolas Sarkozy, dont le livre « La nuit et le jour » est annoncé pour le 27 septembre. « On me dit qu’il faut être très méchant pour vendre beaucoup, j’ai fait le pari inverse » dit-il sans résumer vraiment cet ouvrage qui ne ressemble pas au Verbatim de Jacques Attali sur François Mitterrand, mais s’approche du récit, à la manière de Yamina Reza, de cinq ans d’intimité avec un président hyper actif.
Un cadre prestigieux, les salons historiques du Shangri-La Hôtel, des plats mitonnés par le chef du palace, du caviar servi sans parcimonie, des homards, huîtres de Marennes-Oléron et plates de Bretagne, neuf buffets de cuisine marine symbolisant les voyages au long cours du célèbre charentais, des centaines d’invités pour accompagner cet anniversaire, la fête fut mardi soir à la mesure de leur enthousiasme toujours juvénile.Le Landais Alain Ducasse qui totalise le plus grand nombre d’étoiles de l’histoire de la gastronomie, l’homme d’affaires libournais Jean-René Fourtou (Vivendi), les anciens ministres Claude Allègre, Dominique Bussereau, Christian Blanc, Rachida Dati.
Présent également le député Henri Guaino, ancienne plume de Nicolas Sarkozy, dont le livre « La nuit et le jour » est annoncé pour le 27 septembre. « On me dit qu’il faut être très méchant pour vendre beaucoup, j’ai fait le pari inverse » dit-il sans résumer vraiment cet ouvrage qui ne ressemble pas au Verbatim de Jacques Attali sur François Mitterrand, mais s’approche du récit, à la manière de Yamina Reza, de cinq ans d’intimité avec un président hyper actif.
Les confidences d'Olivier Falorni
On pouvait aussi croiser Marine Le Pen, Geneviève de Fontenay, Olivier de Kersauson, le comédien Gérard Hernandez qui triomphe autant sur les planches (« Toc Toc »), qu’au petit écran (« Scènes de ménages » sur M6), les journalistes Yvan Levaï et PPDA, les animateurs Laurent Boyer et Christian Morin, le député charentais Olivier Falorni que beaucoup continuaient de féliciter pour sa victoire sur Ségolène Royal. « Je ne renie pas ma famille politique, je demeure socialiste, mais je ne suis pas impatient de réintégrer le PS. Autant les Primaires avaient été exemplaires, autant la désignation d’Harlem Désir par la Première secrétaire pour prendre la tête du parti n’est pas un modèle de démocratie ! » regrette-t-il.
Une soirée gourmande, à la fois parisienne, provinciale et internationale, où toutes les familles politiques, culturelles et religieuses se retrouvaient sans clivage. Un plaisir que l’on peut poursuivre avec les livres que les deux joyeux octogénaires viennent d’écrire. Le premier, « La France que j’aime » de Pierre Bonte (1) est en en vente dès le 19 septembre, il faudra attendre le 18 octobre pour le « Tour du monde de Jacques Le Divellec » (2)
Régine Magné à Paris
(1) « La France que j’aime » nouvelle édition illustrée de 180 magnifiques photos couleurs, par Pierre Bonte. ED Albin Michel. 24€-288 pages
(2) « Le tour du monde de Jacques Le Divellec et Sophie Brissard » Récits de vie et recettes de la mer. ED La Martinière. 240 pages. 39 euros.
Une soirée gourmande, à la fois parisienne, provinciale et internationale, où toutes les familles politiques, culturelles et religieuses se retrouvaient sans clivage. Un plaisir que l’on peut poursuivre avec les livres que les deux joyeux octogénaires viennent d’écrire. Le premier, « La France que j’aime » de Pierre Bonte (1) est en en vente dès le 19 septembre, il faudra attendre le 18 octobre pour le « Tour du monde de Jacques Le Divellec » (2)
Régine Magné à Paris
(1) « La France que j’aime » nouvelle édition illustrée de 180 magnifiques photos couleurs, par Pierre Bonte. ED Albin Michel. 24€-288 pages
(2) « Le tour du monde de Jacques Le Divellec et Sophie Brissard » Récits de vie et recettes de la mer. ED La Martinière. 240 pages. 39 euros.