Marc Sanchez (DR)
Le Conseil Constitutionnel doit se prononcer ce Jeudi 5 août sur la question du pass sanitaire, notamment pour les activités de bars et restaurants. Le SDI (Syndicat des Indépendants) attend que l'avis qui sera rendu consacre la liberté d'entreprendre et sécurise les relations entre les salariés et les employeurs.
Marc Sanchez, Secrétaire Général du SDI déclare : « La stigmatisation des lieux de convivialité doit prendre fin. L'implication massive des professionnels dans la protection de la santé publique n'est plus à démontrer à l'appui des protocoles drastiques d'ores et déjà mis en place dans nos établissements. Nous souhaitons continuer à accueillir notre clientèle sans ériger de barrières disproportionnées, notamment en ce qui concerne l'accès aux terrasses.
Le SDI attend du Conseil Constitutionnel qu'il sécurise la situation juridique des employeurs comme des salariés.
Dans un contexte de difficultés majeures de recrutement, aucun établissement n'est en mesure de gérer son activité au jour le jour en fonction de la présentation ou non d'un pass sanitaire par tout ou partie de son personnel.
Avec le pass sanitaire, les pouvoirs publics sont allés trop loin dans l'ajout de complexités à la gestion concrète de nos activités. Le risque est un retrait incontrôlable de l'adhésion du terrain alors même que personne n'a intérêt à une nouvelle fermeture des établissements recevant du public. Il conviendra le cas échéant de se mettre de nouveau autour de la table pour faire face, cette fois-ci ensemble, aux risques de la quatrième vague."
LE 5 AOÛT APRES LA VALIDATION PAR LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL:
Marc Sanchez: « Les professionnels sont sous le choc. Ils s'attendaient au moins à pouvoir poursuivre une activité normale sur les terrasses ainsi qu'à un minimum de sécurité juridique dans leurs relations avec leurs employés. Cette décision signe le début d'une période de profonde incertitude à court terme sur l'impact du passe sur les chiffres d'affaire et à moyen terme sur la capacité de poursuite des activités dans un contexte de diminution du personnel disponible. Il est impératif que le gouvernement revoit d'urgence sa politique de soutien à la filière, et rétablisse un niveau d'aides en cohérence avec ces nouvelles données”.
Marc Sanchez, Secrétaire Général du SDI déclare : « La stigmatisation des lieux de convivialité doit prendre fin. L'implication massive des professionnels dans la protection de la santé publique n'est plus à démontrer à l'appui des protocoles drastiques d'ores et déjà mis en place dans nos établissements. Nous souhaitons continuer à accueillir notre clientèle sans ériger de barrières disproportionnées, notamment en ce qui concerne l'accès aux terrasses.
Le SDI attend du Conseil Constitutionnel qu'il sécurise la situation juridique des employeurs comme des salariés.
Dans un contexte de difficultés majeures de recrutement, aucun établissement n'est en mesure de gérer son activité au jour le jour en fonction de la présentation ou non d'un pass sanitaire par tout ou partie de son personnel.
Avec le pass sanitaire, les pouvoirs publics sont allés trop loin dans l'ajout de complexités à la gestion concrète de nos activités. Le risque est un retrait incontrôlable de l'adhésion du terrain alors même que personne n'a intérêt à une nouvelle fermeture des établissements recevant du public. Il conviendra le cas échéant de se mettre de nouveau autour de la table pour faire face, cette fois-ci ensemble, aux risques de la quatrième vague."
LE 5 AOÛT APRES LA VALIDATION PAR LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL:
Marc Sanchez: « Les professionnels sont sous le choc. Ils s'attendaient au moins à pouvoir poursuivre une activité normale sur les terrasses ainsi qu'à un minimum de sécurité juridique dans leurs relations avec leurs employés. Cette décision signe le début d'une période de profonde incertitude à court terme sur l'impact du passe sur les chiffres d'affaire et à moyen terme sur la capacité de poursuite des activités dans un contexte de diminution du personnel disponible. Il est impératif que le gouvernement revoit d'urgence sa politique de soutien à la filière, et rétablisse un niveau d'aides en cohérence avec ces nouvelles données”.