Au cours de la réunion du 28 janvier au ministère des Transports, le secrétaire d'Etat , Dominique Bussereau, a annoncé qu'il allait demander à la SNCF de retirer ses plaintes à la suite des manifestations qui auraient fait obstacle à la circulation des trains grandes lignes sur le trajet Paris-Toulouse, notamment dans la traversée des gares de Souillac et Gourdon (Lot), ainsi que de rétablir deux arrêts du soir dans ces deux stations. Le président de la région Midi-Pyrénées, Martin Malvy, qui était représenté au cours de cette rencontre par le vice-président Pierre Forgues, a estimé "qu'il s'agit d'un apaisement bienvenu". Le président de Midi-Pyrénées doit aussi rencontrer le numéro un de la SNCF Guillaume Pépy en compagnie du président de la région Limousin Jean-Paul Denanot pour évoquer l'avenir de la ligne Paris-Toulouse par Limoges et Cahors. Il est en effet à craindre que la SNCF s'intéresse davantage à la ligne TGV Paris-Bordeaux-Toulouse dont le développement est en projet, mais qui n'est pas une solution pour le Limousin, le Quercy et une partie du Périgord.
Un comité de réflexion présidé par la préfète du Lot Marcelle Pierrot doit être mis en place pour étudier les cas des gares de Souillac et Gourdon. Une première réunion est prévue le 9 février. L'Association de Défense accueille ces informations avec prudence, et d'ailleurs des actions ont encore eu lieu en gare de Souillac et de Gourdon. La mécanique judiciaire reste quant à elle en marche, trois militants ayant encore été appelés à comparaître devant le tribunal le Cahors. Le procès a été reporté au 20 mars. L'Association doit tenir une assemblée générale lundi 2 mars à 18h en gare de Gourdon.
Un comité de réflexion présidé par la préfète du Lot Marcelle Pierrot doit être mis en place pour étudier les cas des gares de Souillac et Gourdon. Une première réunion est prévue le 9 février. L'Association de Défense accueille ces informations avec prudence, et d'ailleurs des actions ont encore eu lieu en gare de Souillac et de Gourdon. La mécanique judiciaire reste quant à elle en marche, trois militants ayant encore été appelés à comparaître devant le tribunal le Cahors. Le procès a été reporté au 20 mars. L'Association doit tenir une assemblée générale lundi 2 mars à 18h en gare de Gourdon.