Capture d'écran vidéo AGPM
Tous les chefs d''Etat qui se sont exprimés à la tribune de la COP 21 ont manifesté leur volonté de réduire les émissions de gaz à effet de serre et certains, comme François Hollande, réclamé un "accord contraignant". Il est à craindre cependant que, pour les pays développés on se dirige vers des réglementations entraînant la décroissance, et donc la poursuite du chômage. Ce qui ne serait pas le meilleur moyen de soutenir les pays émergents qui entendent à juste titre être aidés et bénéficier du développement. Il est nécessaire, sans doute, de renoncer autant que possible aux énergies alimentant l'effet de serre, mais il ne faudrait pas pour autant négliger la capacité de l'homme à résoudre positivement le problème. Des ingénieurs ou des chercheurs ont des idées pour stocker ou éliminer le Co2. Il est aussi des moyens simples et déjà connus comme le rôle de la sylviculture, des prairies, des pelouses, des espaces verts, de certaines productions agricoles. Cela fera voir rouge aux écologistes qui, de longue date, ont pris le maïs en grippe, mais celui-ci est très performant en la matière, comme l'indique ce communiqué de l'AGPM.
« Grâce à son bilan gaz à effet de serre favorable, sa forte capacité à enrichir les sols en carbone et la puissance de sa pompe à CO2, la production de maïs est un atout en matière de lutte contre le changement climatique » rappelle Daniel Peyraube, président de l’AGPM.
- "IL FIXE PLUS DE CO2 QUE LES AUTRES CULTURES"...
« Grâce à son bilan gaz à effet de serre favorable, sa forte capacité à enrichir les sols en carbone et la puissance de sa pompe à CO2, la production de maïs est un atout en matière de lutte contre le changement climatique » rappelle Daniel Peyraube, président de l’AGPM.