L'aéroport de Bergerac, grâce aux compagnies low cost, et à l'intérêt des Britanniques et Hollandais pour le Périgord, a connu une belle progression en quelques années le nombre annuel de passagers passant de 17 000 en 2002 à près de 300 000 aujourd'hui. Il revendique du même coup le qualificatif "d'international" en raison de la présence de 10 lignes qui assurent des liaisons avec l'Angleterre, l'Ecosse, et la Belgique. Si le mouvement n'est pas sans intérêt pour l'économie, la part nationale et locale en matière de voyage aérien vers Paris était dans tout cela inexistante puisqu'une liaison avec la capitale fut supprimée en 2005. La Dordogne et les pays environnants vont cependant à partir de lundi 16 novembre retrouver le moyen de rejoindre la capitale (Orly) par les airs grâce à la compagnie française Twin Jet qui doit assurer deux liaisons par jour du lundi au vendredi entre Bergerac et Paris avec escale à Périgueux.
TWIN JET qui table sur une clientèle d'affaires explique "qu'elle a choisi d’opérer avec des avions Beechcraft 1900, offrant les dernières évolutions technologiques et répondant à toutes les exigences de sécurité Générale de l’Aviation Civile. A l’heure actuelle, la compagnie dispose d’une flotte de 9 avions grâce à laquelle plus de 11 000 heures de vol annuelles peuvent être effectuées.Ce sont des appareils qui offrent une capacité de 19 places, homologués pour les atterrissages et les décollages « tous temps ».
Le Périgord, éloigné du TGV et de la ligne SNCF Paris-Toulouse, comme de l'aéroport de Bordeaux-Mérignac, retrouve ainsi un moyen de rejoindre rapidement la capitale. La réouverture de cette ligne bénéficie du soutien financier du conseil général.
TWIN JET qui table sur une clientèle d'affaires explique "qu'elle a choisi d’opérer avec des avions Beechcraft 1900, offrant les dernières évolutions technologiques et répondant à toutes les exigences de sécurité Générale de l’Aviation Civile. A l’heure actuelle, la compagnie dispose d’une flotte de 9 avions grâce à laquelle plus de 11 000 heures de vol annuelles peuvent être effectuées.Ce sont des appareils qui offrent une capacité de 19 places, homologués pour les atterrissages et les décollages « tous temps ».
Le Périgord, éloigné du TGV et de la ligne SNCF Paris-Toulouse, comme de l'aéroport de Bordeaux-Mérignac, retrouve ainsi un moyen de rejoindre rapidement la capitale. La réouverture de cette ligne bénéficie du soutien financier du conseil général.