
Le CADE (Collectif des Associations de Défense de l'Environnement Pays Basque Sud des Landes était mobilisé (ph DR)
Suite à une conférence de presse qui s'est déroulée à Bayonne, un groupe de parlementaires prend position contre la LGV:
"Nous, députés et sénateurs, sommes réunis aujourd’hui pour dénoncer le Grand Projet Sud Ouest (GPSO) inutile et destructeur du point de vie économique, social, et environnemental.
Nous nous exprimons symboliquement depuis le Pays-Basque, qui a récemment exprimé son opposition au GPSO, et dont les députés sont unanimement opposés au projet.
La coalition parlementaire contre le projet s’agrandit de jour en jour : nous ne céderons pas !
Dans un contexte de ressources limitées, investir 14,4 milliards d’euros dans un projet de Ligne à Grande Vitesse alors qu’un aménagement des voies existantes coûterait 8 milliards de moins pour des résultats similaires est incohérent et irresponsable.
Sur le plan environnemental, la construction de la nouvelle voie LGV entraînerait la destruction de près de 5000 hectares d’espaces naturels, dont 2000 hectares de forêt et l’émission de 30 millions de tonnes de CO2.
Enfin, ce projet est un non-sens social puisqu’il impose une charge financière aux habitants via un nouvel impôt LGV visant à financer une infrastructure qui, loin de leur apporter des avantages directs, risque d’aggraver les tensions immobilières locales. Ainsi, les habitants subissent une double peine : ils financent un projet dont ils ne profiteront pas et se retrouvent confrontés à une hausse des prix.
Cette réalité génère une opposition intense de la part des citoyens, associations de défense de l’environnement et élus locaux, qui perçoivent le GPSO comme un projet injuste, alors qu’un besoin pressant d'améliorer l’offre et la qualité des trains du quotidien est clairement exprimé.
Notre message est clair : il est urgent d’abandonner ce projet inutile.
Des solutions existent pour améliorer la mobilité des habitants du territoire :
• Moderniser l’infrastructure existante afin d’augmenter la vitesse sur les voies
• Mettre en place des solutions techniques qui fluidifieront les trafics et optimiseront les capacités de la ligne
• Investir dans les mobilités du quotidien, qui restent la priorité pour les habitants
• Développer l’offre de trains de nuits
• Faciliter les connexions transfrontalières aujourd’hui devenues inexistantes
Nous travaillons de manière transpartisane pour construire de nouveaux projets de transports à la hauteur des enjeux et continuerons à rassembler !
Colette Capdevielle, députée des Pyrénées-Atlantiques (Socialistes et apparentés)
Lionel Causse, député des Landes (Ensemble pour la République)
Mireille Conte-Jaubert, sénatrice de Gironde (Rassemblement démocratique et social européen)
Monique de Marco, sénatrice de la Gironde (Les écologistes)
Peio Dufau, député des Pyrénées-Atlantiques (EH Bai, Socialistes et apparentés)
Iñaki Echaniz, député des Pyrénées-Atlantiques (Socialistes et apparentés)
Frédérique Espagnac, sénatrice des Pyrénées Atlantiques (Socialiste, Écologiste et Républicain)
Mathilde Feld, députée de la Gironde (LFI)
Hervé Gillé, sénateur de la Gironde (Socialiste, Écologiste et Républicain)
Laurence Harribey, sénatrice de la Gironde (Socialiste, Écologiste et Républicain)
Florence Lassarade, sénatrice de la Gironde (Les Républicains)
Sophie Mette, député de la Gironde (Les Démocrates)
Loïc Prud’homme, député de la Gironde (LFI)
Nicolas Thierry, député de la Gironde (Écologiste et social)
"Nous, députés et sénateurs, sommes réunis aujourd’hui pour dénoncer le Grand Projet Sud Ouest (GPSO) inutile et destructeur du point de vie économique, social, et environnemental.
Nous nous exprimons symboliquement depuis le Pays-Basque, qui a récemment exprimé son opposition au GPSO, et dont les députés sont unanimement opposés au projet.
La coalition parlementaire contre le projet s’agrandit de jour en jour : nous ne céderons pas !
Dans un contexte de ressources limitées, investir 14,4 milliards d’euros dans un projet de Ligne à Grande Vitesse alors qu’un aménagement des voies existantes coûterait 8 milliards de moins pour des résultats similaires est incohérent et irresponsable.
Sur le plan environnemental, la construction de la nouvelle voie LGV entraînerait la destruction de près de 5000 hectares d’espaces naturels, dont 2000 hectares de forêt et l’émission de 30 millions de tonnes de CO2.
Enfin, ce projet est un non-sens social puisqu’il impose une charge financière aux habitants via un nouvel impôt LGV visant à financer une infrastructure qui, loin de leur apporter des avantages directs, risque d’aggraver les tensions immobilières locales. Ainsi, les habitants subissent une double peine : ils financent un projet dont ils ne profiteront pas et se retrouvent confrontés à une hausse des prix.
Cette réalité génère une opposition intense de la part des citoyens, associations de défense de l’environnement et élus locaux, qui perçoivent le GPSO comme un projet injuste, alors qu’un besoin pressant d'améliorer l’offre et la qualité des trains du quotidien est clairement exprimé.
Notre message est clair : il est urgent d’abandonner ce projet inutile.
Des solutions existent pour améliorer la mobilité des habitants du territoire :
• Moderniser l’infrastructure existante afin d’augmenter la vitesse sur les voies
• Mettre en place des solutions techniques qui fluidifieront les trafics et optimiseront les capacités de la ligne
• Investir dans les mobilités du quotidien, qui restent la priorité pour les habitants
• Développer l’offre de trains de nuits
• Faciliter les connexions transfrontalières aujourd’hui devenues inexistantes
Nous travaillons de manière transpartisane pour construire de nouveaux projets de transports à la hauteur des enjeux et continuerons à rassembler !
Colette Capdevielle, députée des Pyrénées-Atlantiques (Socialistes et apparentés)
Lionel Causse, député des Landes (Ensemble pour la République)
Mireille Conte-Jaubert, sénatrice de Gironde (Rassemblement démocratique et social européen)
Monique de Marco, sénatrice de la Gironde (Les écologistes)
Peio Dufau, député des Pyrénées-Atlantiques (EH Bai, Socialistes et apparentés)
Iñaki Echaniz, député des Pyrénées-Atlantiques (Socialistes et apparentés)
Frédérique Espagnac, sénatrice des Pyrénées Atlantiques (Socialiste, Écologiste et Républicain)
Mathilde Feld, députée de la Gironde (LFI)
Hervé Gillé, sénateur de la Gironde (Socialiste, Écologiste et Républicain)
Laurence Harribey, sénatrice de la Gironde (Socialiste, Écologiste et Républicain)
Florence Lassarade, sénatrice de la Gironde (Les Républicains)
Sophie Mette, député de la Gironde (Les Démocrates)
Loïc Prud’homme, député de la Gironde (LFI)
Nicolas Thierry, député de la Gironde (Écologiste et social)