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La filière équine se dresse contre une situation qui ne lui est pas favorable. La Fédération Française de l'Equitation nous adresse le communiqué suivant:
"Sous le haut patronage de Madame la Sénatrice Anne-Catherine LOISIER, présidente du Groupe Cheval au Sénat,
Les présidents Serge Lecomte de la Fédération Française d’Équitation, Yves Chauvin de la Société Hippique Française, Dominique de Bellaigue de la société LeTROT, Édouard de Rothschild de la société France Galop et Éric Rousseaux de la Société Française des Équidés de Travail, ont signé ce jeudi 6 octobre 2016 au Palais du Luxembourg une déclaration commune appelant les autorités publiques nationales et européennes à mettre en place sans tarder une véritable « politique européenne du cheval ».
Encouragés par le succès rencontré par les cavaliers et chevaux français lors des récents Jeux Olympiques de Rio, les représentants des grandes institutions de la filière équine française, ont pris l’initiative de lancer ensemble un appel aux autorités publiques nationales et européennes qu’ils ont rendu public lors d’une conférence de presse.
Les équidés sont en France, comme dans la plupart des autres pays européens, une richesse pour le patrimoine rural, un témoignage des traditions et un acteur de loisirs sportifs et de compétition. Avec un cheptel de plus de 7 millions d’individus, la valeur et le potentiel de la filière équine européenne vont bien au-delà !
La filière équine est un atout pour l’économie et l’environnement. Elle contribue à l’aménagement, la gestion et l’entretien des espaces naturels et favorise le développement durable. Elle représente à elle seule 180 000 emplois directs en France, non délocalisables pour la plupart, au sein des territoires ruraux.
La filière équine répond donc pleinement aux préoccupations françaises et européennes en matière de croissance verte, d’emplois, d’inclusion sociale, de santé et d’environnement.
Pourtant malgré ses contributions sociétales et son potentiel d’exploitation, la filière équine en France comme dans les autres États membres de l’Union Européenne ne reçoit pas de la part des institutions nationales et européennes tout le soutien, la protection et l’encouragement qu’elle mérite.
C’est pourquoi, les représentants de la Filière équine française ont décidé de se mobiliser pour demander publiquement aux autorités françaises et européennes de mettre en place sans tarder une véritable politique européenne du cheval et a invité leurs homologues des autres pays européens à se joindre à cet appel"
"Sous le haut patronage de Madame la Sénatrice Anne-Catherine LOISIER, présidente du Groupe Cheval au Sénat,
Les présidents Serge Lecomte de la Fédération Française d’Équitation, Yves Chauvin de la Société Hippique Française, Dominique de Bellaigue de la société LeTROT, Édouard de Rothschild de la société France Galop et Éric Rousseaux de la Société Française des Équidés de Travail, ont signé ce jeudi 6 octobre 2016 au Palais du Luxembourg une déclaration commune appelant les autorités publiques nationales et européennes à mettre en place sans tarder une véritable « politique européenne du cheval ».
Encouragés par le succès rencontré par les cavaliers et chevaux français lors des récents Jeux Olympiques de Rio, les représentants des grandes institutions de la filière équine française, ont pris l’initiative de lancer ensemble un appel aux autorités publiques nationales et européennes qu’ils ont rendu public lors d’une conférence de presse.
Les équidés sont en France, comme dans la plupart des autres pays européens, une richesse pour le patrimoine rural, un témoignage des traditions et un acteur de loisirs sportifs et de compétition. Avec un cheptel de plus de 7 millions d’individus, la valeur et le potentiel de la filière équine européenne vont bien au-delà !
La filière équine est un atout pour l’économie et l’environnement. Elle contribue à l’aménagement, la gestion et l’entretien des espaces naturels et favorise le développement durable. Elle représente à elle seule 180 000 emplois directs en France, non délocalisables pour la plupart, au sein des territoires ruraux.
La filière équine répond donc pleinement aux préoccupations françaises et européennes en matière de croissance verte, d’emplois, d’inclusion sociale, de santé et d’environnement.
Pourtant malgré ses contributions sociétales et son potentiel d’exploitation, la filière équine en France comme dans les autres États membres de l’Union Européenne ne reçoit pas de la part des institutions nationales et européennes tout le soutien, la protection et l’encouragement qu’elle mérite.
C’est pourquoi, les représentants de la Filière équine française ont décidé de se mobiliser pour demander publiquement aux autorités françaises et européennes de mettre en place sans tarder une véritable politique européenne du cheval et a invité leurs homologues des autres pays européens à se joindre à cet appel"