Le président du département de la Gironde, Jean-Luc Gleyze, affiche un style bien différent de l'homme politique girondin auquel il a succédé, Philippe Madrelle,, mais il ne s'implique pas moins dans l'action méthodique, tant dans la démarche socialiste que dans la défense du département et des territoires. Il lève maintenant le voile sur son engagement en politique dans le cadre d'un livre qui est le fruit d'un entretien avec Jean Peteaux, "Etre girondin, la démocratie au quotidien" qui est publié aux Editions Le Bord de l'eau.
La sortie de cet ouvrage a été l'occasion d'une présentation en direct sur les réseaux sociaux au cours d'un débat animé par la journaliste Catherine Debray (Sud Ouest) avec la contribution de la librairie La machine à lire. Il y en aura d'autres à travers les territoires girondins avec séances de dédicaces.
L'entretien a notamment permis à Jean-Luc Gleyze d'évoquer ses fonctions premières, puis son entrée par étapes en politique. Après avoir parlé de la zone forestière, et de la chasse à la palombe, il a repris au fil de l'entretien les thèmes qui lui sont chers, "l'interdépendance" entre la Métropole et la Gironde, le revenu de base soutenu par 19 départements pour lequel il demande une expérimentation. Il a indiqué que deux jours après la présentation du projet M. Macron annonçait le revenu universel. "Mais, dit-il, aujourd'hui, j'ai beau brancher tous les radars, je ne vois rien venir".
La sortie de cet ouvrage a été l'occasion d'une présentation en direct sur les réseaux sociaux au cours d'un débat animé par la journaliste Catherine Debray (Sud Ouest) avec la contribution de la librairie La machine à lire. Il y en aura d'autres à travers les territoires girondins avec séances de dédicaces.
L'entretien a notamment permis à Jean-Luc Gleyze d'évoquer ses fonctions premières, puis son entrée par étapes en politique. Après avoir parlé de la zone forestière, et de la chasse à la palombe, il a repris au fil de l'entretien les thèmes qui lui sont chers, "l'interdépendance" entre la Métropole et la Gironde, le revenu de base soutenu par 19 départements pour lequel il demande une expérimentation. Il a indiqué que deux jours après la présentation du projet M. Macron annonçait le revenu universel. "Mais, dit-il, aujourd'hui, j'ai beau brancher tous les radars, je ne vois rien venir".