Les éditions Le Bord de L'eau (Lormont, en Gironde) viennent d'être récompensées à travers les livres de deux de leurs auteurs: Julie Sedel "Les Médias & la banlieue " qui a obtenu le prix des Assises du journalisme 2009, et Patrick Tudoret "l'Ecrivain sacrifié ", prix Charles Oulmont "essai"(remise du prix le 5 décembre 2009 à Paris), et récemment, Prix de la Critique. Il s'agit de deux ouvrages publiés dans la collection "Penser les médias" dirigée par Antoine Spire (en co-édition INA).
"Les médias et la banlieue"-À la fin des années 1990, le traitement journalistique des quartiers populaires périphériques s’est focalisé sur des faits de violence impliquant des jeunes hommes issus de l’immigration. Pourquoi l’attention des journalistes s’est-elle portée sur cette fraction de la population des cités ?Ce livre se propose d'y répondre à travers l’étude des quartiers populaires et des logiques journalistiques...(230 pages, 18€).
L'Ecrivain sacrifié- Tout commence il y a 50 ans, lorsque les théories structuralistes annoncent la mort de l’auteur, au moment même où la télévision se met à le porter au pinacle et fait de lui le « représentant » de son livre. Le texte, peu à peu, disparaît au profit d’un plébiscite autour de son image. L’émission littéraire devient alors un passage obligé pour l’écrivain, icône cathodique dont les performances audiovisuelles comptent plus que la qualité littéraire de son œuvre. Mais "Apostrohes" a disparu...(254 pages, 18€)
"Les médias et la banlieue"-À la fin des années 1990, le traitement journalistique des quartiers populaires périphériques s’est focalisé sur des faits de violence impliquant des jeunes hommes issus de l’immigration. Pourquoi l’attention des journalistes s’est-elle portée sur cette fraction de la population des cités ?Ce livre se propose d'y répondre à travers l’étude des quartiers populaires et des logiques journalistiques...(230 pages, 18€).
L'Ecrivain sacrifié- Tout commence il y a 50 ans, lorsque les théories structuralistes annoncent la mort de l’auteur, au moment même où la télévision se met à le porter au pinacle et fait de lui le « représentant » de son livre. Le texte, peu à peu, disparaît au profit d’un plébiscite autour de son image. L’émission littéraire devient alors un passage obligé pour l’écrivain, icône cathodique dont les performances audiovisuelles comptent plus que la qualité littéraire de son œuvre. Mais "Apostrohes" a disparu...(254 pages, 18€)