Estelle Nollet (image vidéo Albin Michel)
Philippe Madrelle, Président du Conseil Général de la Gironde, Bernard Cattaneo, Directeur général du Courrier Français, remettront ce jeudi 22 décembre le Prix Gironde nouvelles écritures 2011 à Estelle Nollet pour son roman Le bon, la brute, etc. publié chez Albin Michel. Le Prix littéraire Gironde, Nouvelles Ecritures, a été créé en 1990 par le Conseil Général de la Gironde et l'hebdomadaire régional Le Courrier Français. Il récompense un premier ou second roman écrit en langue française, contribue à la reconnaissance d’un talent et encourage la poursuite d’une oeuvre. Doté de 7 600€, ce prix a déjà consacré vingt-deux jeunes écrivains de langue française dont certains ont connu une brillante carrière littéraire. Pour l’édition 2011, le 25 octobre dernier, les membres du jury ont désigné au quatrième tour de scrutin Estelle Nollet lauréat 2011.
L'auteur : Après un début de carrière comme publicitaire à Paris, Estelle Nollet quitte son port d’attache pour rejoindre les déserts d’Egypte et d’Australie. La jeune femme revient de ces terres arides avec un premier roman intitulé On ne boit pas les rats-kangourous. Cette oeuvre influencée par des auteurs américains tels que John Steinbeck ou Cormac McCarthy, lui vaut d’être largement remarquée et plébiscitée lors de la rentrée littéraire 2009. Le bon, la brute, etc. est son second roman. Il confirme son talent de conteuse hors pair.
L’ouvrage : “Le bon, la brute, etc.”: Extrait: “Ses yeux pour qu’ils arrêtent il aurait fallu qu’il les arrache. Ca aurait changé sa vie. Quand on est un enfant on peut arracher les pétales d’une fleur, les pattes d’une mouche, le tissu des fauteuils mais pas ses propres yeux. " Et quand on est un adulte eh bien il est trop tard...” Bang a un don qui lui donnerait presque envie de mourir, Nao une maladie lui donnerait presque envie de vivre. Ensemble ils décident de partir comme on fuit. Du Mexique à Bali puis à la Centrafrique, le road movie déjanté et tonique d’un duo pour le moins singulier qui, face à la folie du monde, s’invente une conduite de résistance inédite et fatale"....
L'auteur : Après un début de carrière comme publicitaire à Paris, Estelle Nollet quitte son port d’attache pour rejoindre les déserts d’Egypte et d’Australie. La jeune femme revient de ces terres arides avec un premier roman intitulé On ne boit pas les rats-kangourous. Cette oeuvre influencée par des auteurs américains tels que John Steinbeck ou Cormac McCarthy, lui vaut d’être largement remarquée et plébiscitée lors de la rentrée littéraire 2009. Le bon, la brute, etc. est son second roman. Il confirme son talent de conteuse hors pair.
L’ouvrage : “Le bon, la brute, etc.”: Extrait: “Ses yeux pour qu’ils arrêtent il aurait fallu qu’il les arrache. Ca aurait changé sa vie. Quand on est un enfant on peut arracher les pétales d’une fleur, les pattes d’une mouche, le tissu des fauteuils mais pas ses propres yeux. " Et quand on est un adulte eh bien il est trop tard...” Bang a un don qui lui donnerait presque envie de mourir, Nao une maladie lui donnerait presque envie de vivre. Ensemble ils décident de partir comme on fuit. Du Mexique à Bali puis à la Centrafrique, le road movie déjanté et tonique d’un duo pour le moins singulier qui, face à la folie du monde, s’invente une conduite de résistance inédite et fatale"....