PH BRGM
Dans le cadre d'un partenariat engagé en 2018, le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et Bordeaux Métropole ont lancé cette semaine une campagne de forages-tests à Bègles, Pessac et le Taillan-Médoc afin de mieux connaitre le sous-sol régional et d'évaluer les possibilités d'en extraire de l'énergie par géothermie à différentes profondeurs.
Le BRGM indique que les études déjà engagées révèlent que la température augmente d'environ 3°6 tous les 100 m, ce qui ouvre d'immenses perspectives.
Bordeaux Métropole et le BRGM ont choisi de conduire une campagne d'investigations inédite, en réalisant les forages de 3 sondes géothermiques de plus de 100 m de profondeur. Ces forages ont été implantés sur 3 sites sélectionnés à Bègles, Pessac et le Taillan-Médoc. A partir du 22 août, et pour une durée de 2 semaines, les forages seront équipés d'un dispositif spécialement développé pour l'étude, comprenant des capteurs de température déployés sur toute la profondeur, et ils subiront des tests destinés à éprouver les capacités des terrains. Les informations recueillies à la faveur de cette étude au long cours permettent de caractériser le sous-sol bordelais et de rendre public les résultats afin que les potentiels maitres d’ouvrages et bureaux d’études privés puissent identifier facilement l'énergie disponible sous leurs pieds et ainsi envisager le recours à la géothermie. A travers cette convention, il s’agit de montrer que cette technique peut être sûre grâce notamment à une bonne connaissance du sous-sol.
Le BRGM indique que les études déjà engagées révèlent que la température augmente d'environ 3°6 tous les 100 m, ce qui ouvre d'immenses perspectives.
Bordeaux Métropole et le BRGM ont choisi de conduire une campagne d'investigations inédite, en réalisant les forages de 3 sondes géothermiques de plus de 100 m de profondeur. Ces forages ont été implantés sur 3 sites sélectionnés à Bègles, Pessac et le Taillan-Médoc. A partir du 22 août, et pour une durée de 2 semaines, les forages seront équipés d'un dispositif spécialement développé pour l'étude, comprenant des capteurs de température déployés sur toute la profondeur, et ils subiront des tests destinés à éprouver les capacités des terrains. Les informations recueillies à la faveur de cette étude au long cours permettent de caractériser le sous-sol bordelais et de rendre public les résultats afin que les potentiels maitres d’ouvrages et bureaux d’études privés puissent identifier facilement l'énergie disponible sous leurs pieds et ainsi envisager le recours à la géothermie. A travers cette convention, il s’agit de montrer que cette technique peut être sûre grâce notamment à une bonne connaissance du sous-sol.