L'extension de la ligne de métro de Toulouse figure parmi les finalistes du concours international "Ita Tunnelling Awards" qui s'adresse aux acteurs de la construction et de l'utilisation de l'espace souterrain. La remise des prix doit avoir lieu le 18 novembre à Miami (USA).
Le 18 novembre prochain, les plus grands spécialistes mondiaux de l'industrie des tunnels et de la construction souterraine se retrouveront à Miami, en compétition pour les ITA Tunnelling Awards, un concours international lancé en 2015 par l'Association Internationale des Tunnels et de l'Espace Souterrain (AITES). Tous les ans, ce concours cherche et récompense les plus grands projets qui émergent à travers le monde, les technologies les plus innovantes ou encore l'utilisation la plus originale des espaces souterrains. La journée du 18 novembre sera consacrée à la présentation des projets finalistes, suivie d'un dîner de gala pendant lequel seront remis les trophées.
Le projet toulousain est en lice dans la catégorie « Projet Technique Innovant de l'année », le projet est en compétition avec trois autres finalistes internationaux (des projets chinois sélectionnés dans la même catégorie).
La particularité de cette réalisation réside dans la construction de trois extensions de stations de métro, qui ont nécessité de retirer les parois du tunnel tout en maintenant le métro en service. L'une des complexités de l'opération était de limiter les inconvénients pour les passagers et de garantir les exigences d'accessibilité et de sécurité d'un métro automatique. Cela devait être fait en minimisant autant que possible les perturbations causées par les travaux sur l'environnement très urbain.
Une coque intérieure en acier a été placée autour du tunnel au cours de l'été 2017 et retirée à l'été 2018. Ce dispositif a permis d'isoler le périmètre de travaux du métro en opération. Cela a rendu possible la construction des parois moulées, l'excavation des deux côtés du tunnel et la découpe du revêtement du tunnel dans la zone d'extension des stations. Pendant toute la durée des travaux, les 220 000 passagers de la ligne A ne se sont pas rendus compte qu'ils se rendaient au cœur d'un chantier de construction souterrain et n'en ont subi aucune conséquence.
Le coût global du projet s'élève à 15 millions d'euros.
Le 18 novembre prochain, les plus grands spécialistes mondiaux de l'industrie des tunnels et de la construction souterraine se retrouveront à Miami, en compétition pour les ITA Tunnelling Awards, un concours international lancé en 2015 par l'Association Internationale des Tunnels et de l'Espace Souterrain (AITES). Tous les ans, ce concours cherche et récompense les plus grands projets qui émergent à travers le monde, les technologies les plus innovantes ou encore l'utilisation la plus originale des espaces souterrains. La journée du 18 novembre sera consacrée à la présentation des projets finalistes, suivie d'un dîner de gala pendant lequel seront remis les trophées.
Le projet toulousain est en lice dans la catégorie « Projet Technique Innovant de l'année », le projet est en compétition avec trois autres finalistes internationaux (des projets chinois sélectionnés dans la même catégorie).
La particularité de cette réalisation réside dans la construction de trois extensions de stations de métro, qui ont nécessité de retirer les parois du tunnel tout en maintenant le métro en service. L'une des complexités de l'opération était de limiter les inconvénients pour les passagers et de garantir les exigences d'accessibilité et de sécurité d'un métro automatique. Cela devait être fait en minimisant autant que possible les perturbations causées par les travaux sur l'environnement très urbain.
Une coque intérieure en acier a été placée autour du tunnel au cours de l'été 2017 et retirée à l'été 2018. Ce dispositif a permis d'isoler le périmètre de travaux du métro en opération. Cela a rendu possible la construction des parois moulées, l'excavation des deux côtés du tunnel et la découpe du revêtement du tunnel dans la zone d'extension des stations. Pendant toute la durée des travaux, les 220 000 passagers de la ligne A ne se sont pas rendus compte qu'ils se rendaient au cœur d'un chantier de construction souterrain et n'en ont subi aucune conséquence.
Le coût global du projet s'élève à 15 millions d'euros.