L’Agence Bio a révélé les chiffres du secteur de l’agriculture biologique en France pour l'année 2023. Malgré une baisse inédite des surfaces et du nombre de fermes à l'échelle nationale, la Nouvelle-Aquitaine conserve sa place de deuxième région bio française.
En Nouvelle-Aquitaine, les données de 2023 montrent une augmentation de 1 % du nombre de producteurs, mais une réduction de 4 % des surfaccultivées en bio. En effet, 638 nouveaux producteurs ont rejoint le secteur bio, tandis que 544 ont cessé leur activité en raison de départs à la retraite, de cessions ou d'arrêts de certification. La part des sortants reste relativement stable, passant de 5,9 % en 2022 à 6 % en 2023.
La diminution des surfaces en bio, malgré un solde positif de nouveaux producteurs, est principalement attribuée à des projets de plus petite taille et à un recul des surfaces dédiées aux grandes cultures. Toutefois, le repli des surfaces fourragères a été partiellement compensé par une augmentation des surfaces en herbe. En conséquence, la part des surfaces agricoles utiles (SAU) en bio dans la région a légèrement baissé, passant de 9,4 % à 9,2 %.
Sur le plan des filières animales, la plupart des cheptels bio ont diminué, à l'exception des truies et des ruches.
Les entreprises de l'aval des filières (transformateurs, distributeurs…) certifiées pour une activité bio passent de
3 095 en 2022 à 3 056 en 2023, soit une baisse de 1,2 %.
En Nouvelle-Aquitaine, les données de 2023 montrent une augmentation de 1 % du nombre de producteurs, mais une réduction de 4 % des surfaccultivées en bio. En effet, 638 nouveaux producteurs ont rejoint le secteur bio, tandis que 544 ont cessé leur activité en raison de départs à la retraite, de cessions ou d'arrêts de certification. La part des sortants reste relativement stable, passant de 5,9 % en 2022 à 6 % en 2023.
La diminution des surfaces en bio, malgré un solde positif de nouveaux producteurs, est principalement attribuée à des projets de plus petite taille et à un recul des surfaces dédiées aux grandes cultures. Toutefois, le repli des surfaces fourragères a été partiellement compensé par une augmentation des surfaces en herbe. En conséquence, la part des surfaces agricoles utiles (SAU) en bio dans la région a légèrement baissé, passant de 9,4 % à 9,2 %.
Sur le plan des filières animales, la plupart des cheptels bio ont diminué, à l'exception des truies et des ruches.
Les entreprises de l'aval des filières (transformateurs, distributeurs…) certifiées pour une activité bio passent de
3 095 en 2022 à 3 056 en 2023, soit une baisse de 1,2 %.