Ph RD
L'association" Nouvelle galerie" a invité en résidence, de mars à avril, un jeune artiste pour la création d'une œuvre originale en milieu urbain. L'œuvre terminée est exposée au public bergeracois.
"CONSTRUERE" - Selon l'artiste son projet a consisté à "creuser dans le sol près de l'ancienne pile du pont, près de la place Barbacane". Un choix guidé par l'historien local Yan LABORIE. Creuser un trou qui est à la fois une fouille archéologique, une carrière, un lieu d'expérimentation esthétique. Ensuite, une construction a été "montée" avec la terre produite par la fouille. C'est, selon Jean-Marie HEGOBURU, une "image inversée". L'artiste a également inventorié les découvertes potentielles, à la manière d'un archéologue qui ne sait pas ce qu'il cherche, mais qui aimerait être surpris par ce qu'il trouve. La construction en terre, est "une sorte de pisé composite compacté dans des coffrages, composé de strates de terre hétéroclite". Cette construction (photo) constitue une extension qui s'adosse à un élément historique, la pile de l'ancien pont. Une œuvre qui s'inscrit désormais dans le paysage local.
Le vernissage – le 12 avril, près de la place Barbacane, la toute nouvelle présidente de la Nouvelle Galerie, Corine AUBINEAU, a présenté l'œuvre réalisée par Jean-Marie HEGOBURU. Cette résidence s'est présentée comme une démarche développée in situ sur un site urbain. Parmi les thématiques évoquées, un travail sur la mémoire, les traces ou fantômes (bâtiments, friches) du passé bergeracois.
Jean-Marie HEGOBURU, n'est pas basque comme son nom le laisserait supposer, mais vient de Marseille. Il s'attache à faire évoluer ses œuvres dans des environnements très variés. Il expérimente des matériaux tels le bois, le plâtre et plus récemment le polystyrène, mais aussi la terre sous forme de pisé comme à Bergerac. Sa création bergeracoise évoluera avec le temps, se transformera…c'est de l'archéologie inversée.
Notre photo RD : la réalisation de l'artiste, et en médaillon, avec C.Aubineau, présidente de Nouvelle Galerie.
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"CONSTRUERE" - Selon l'artiste son projet a consisté à "creuser dans le sol près de l'ancienne pile du pont, près de la place Barbacane". Un choix guidé par l'historien local Yan LABORIE. Creuser un trou qui est à la fois une fouille archéologique, une carrière, un lieu d'expérimentation esthétique. Ensuite, une construction a été "montée" avec la terre produite par la fouille. C'est, selon Jean-Marie HEGOBURU, une "image inversée". L'artiste a également inventorié les découvertes potentielles, à la manière d'un archéologue qui ne sait pas ce qu'il cherche, mais qui aimerait être surpris par ce qu'il trouve. La construction en terre, est "une sorte de pisé composite compacté dans des coffrages, composé de strates de terre hétéroclite". Cette construction (photo) constitue une extension qui s'adosse à un élément historique, la pile de l'ancien pont. Une œuvre qui s'inscrit désormais dans le paysage local.
Le vernissage – le 12 avril, près de la place Barbacane, la toute nouvelle présidente de la Nouvelle Galerie, Corine AUBINEAU, a présenté l'œuvre réalisée par Jean-Marie HEGOBURU. Cette résidence s'est présentée comme une démarche développée in situ sur un site urbain. Parmi les thématiques évoquées, un travail sur la mémoire, les traces ou fantômes (bâtiments, friches) du passé bergeracois.
Jean-Marie HEGOBURU, n'est pas basque comme son nom le laisserait supposer, mais vient de Marseille. Il s'attache à faire évoluer ses œuvres dans des environnements très variés. Il expérimente des matériaux tels le bois, le plâtre et plus récemment le polystyrène, mais aussi la terre sous forme de pisé comme à Bergerac. Sa création bergeracoise évoluera avec le temps, se transformera…c'est de l'archéologie inversée.
Notre photo RD : la réalisation de l'artiste, et en médaillon, avec C.Aubineau, présidente de Nouvelle Galerie.
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