Le président de la région Aquitaine, Alain Rousset, a de bonnes raisons d'être fier des résultats de l'Aérocampus, trois ans après la reprise du site à la DGA, à Latresne, aux portes de Bordeaux. Les chiffres présentés ce jeudi, à l'occasion de l'assemblée générale d'Aérocampus Aquitaine, sont bons sur toute la ligne, bien que sur le plan financier la part de la subvention soit encore grande. Mais ce jeudi 15 mai a surtout été marqué par l'inauguration d'une installation de taille, l'Institut de Soudure. Cela en présence d'Alain Rousset, de Denis Guignot, président d'Aérocampus Aquitaine, de Sylvain de Lescazes, président du groupe Institut de Soudure, du maire de Latresne, Francis Delcros, etc.
Le Centre de Latresne est un investissement de taille pour un groupe qui emploie 1000 personnes, possède 26 implantations en France, 8 à l'étranger, et réalise plus de 96 millions d'euros de chiffre d'affaire. La nouvelle unité-qui relaie deux autres installations girondines (Bassens et Ambarès) en cours de fermeture- représente un investissement de 4,5M€ et créera, à terme, une quarantaine d'emplois. L'unité de Latresne d'une emprise de 2600M2 propose l'ensemble des activités industrielles du groupe Institut de Soudure, complétée par une offre dédiée à l'industrie aéronautique en formation et en prestations de contrôle. Le volet se rapportant aux installations nucléaires va aussi être développé. L'installation est équipée d'une enceinte "de tir" permettant de contrôler tous les types de fabrication, d'un appareil de tomographie pour numériser des pièces en 3D, d'une plate forme dédiée aux contrôles non destructiifs sur composites (arrivée d'une équipe et de matériels de la Société Composite Integrity en Juillet). Il s'y ajoute un centre de formation doté de 30 cabines de soudage, 5 salles de formation théorique, 3 salles de travaux pratiques. "Le Centre, soulignent les dirigeants, contribue à la mission d'Aérocampus qui réunit au sein d'un même campus toutes les voies de formation, tous publics, tous niveaux en maintenance aéronautique (du bac au diplôme d'ingénieur, en formation initiale ou continue,"
Côté Aérocampus, les perspectives sont au développement d'une formule qui est notamment reprise en Auvergne, et qui intéresse aussi les Emirats. A Latresne, toutes les branches d'activités sont en progression. La formule de lycée franco-allemand accueille 200 élèves, et on espère arriver à 400. Sur une année 14 000 personnes passent par l'Aérocampus souligne Alain Rousset.
Le Centre de Latresne est un investissement de taille pour un groupe qui emploie 1000 personnes, possède 26 implantations en France, 8 à l'étranger, et réalise plus de 96 millions d'euros de chiffre d'affaire. La nouvelle unité-qui relaie deux autres installations girondines (Bassens et Ambarès) en cours de fermeture- représente un investissement de 4,5M€ et créera, à terme, une quarantaine d'emplois. L'unité de Latresne d'une emprise de 2600M2 propose l'ensemble des activités industrielles du groupe Institut de Soudure, complétée par une offre dédiée à l'industrie aéronautique en formation et en prestations de contrôle. Le volet se rapportant aux installations nucléaires va aussi être développé. L'installation est équipée d'une enceinte "de tir" permettant de contrôler tous les types de fabrication, d'un appareil de tomographie pour numériser des pièces en 3D, d'une plate forme dédiée aux contrôles non destructiifs sur composites (arrivée d'une équipe et de matériels de la Société Composite Integrity en Juillet). Il s'y ajoute un centre de formation doté de 30 cabines de soudage, 5 salles de formation théorique, 3 salles de travaux pratiques. "Le Centre, soulignent les dirigeants, contribue à la mission d'Aérocampus qui réunit au sein d'un même campus toutes les voies de formation, tous publics, tous niveaux en maintenance aéronautique (du bac au diplôme d'ingénieur, en formation initiale ou continue,"
Côté Aérocampus, les perspectives sont au développement d'une formule qui est notamment reprise en Auvergne, et qui intéresse aussi les Emirats. A Latresne, toutes les branches d'activités sont en progression. La formule de lycée franco-allemand accueille 200 élèves, et on espère arriver à 400. Sur une année 14 000 personnes passent par l'Aérocampus souligne Alain Rousset.