La métropole bordelaise, depuis la disparition des abattoirs du Quai de Paludate, à Bordeaux, s'est engagée dans un projet ambitieux de réaménagement de ces quartiers dans le cadre de l'EPA Euratlantique dont on peut déjà voir les premières réalisations. D'autres projets sont à l'ordre du jour, dont celui de rue Saget qui consisterait de relier par la Rue Bordelaise, la gare Saint-Jean aux bords de Garonne dans le cadre d'aménagements paysagers et commerciaux. Ce dernier volet n'éveille pas l'enthousiasme du commerce du centre-ville, l'opérateur avec lequel un contrat a été signé- APSYS- prévoyant au départ 23000m2 de nouvelles enseignes. Le projet qui a été lancé sous l'ère Alain Juppé, avec le soutien de l'Etat, ne correspond pas non plus à l'idéologie écologiste de la nouvelle équipe municipale et du maire Pierre Hurmic (également nouveau président de l'EPA). Il avait été question de faire une pause, voire de stopper le projet.
Ce ne sera pas le cas, mais celui-ci sera sensiblement repensé avec l'assentiment de APSYS. C'est ce que vient d'expliquer au cours d'une conférence de presse Pierre Hurmic à l'issue d'une réunion du conseil d'administration. Pierre Hurmic a expliqué que l'arrêt du programme coûterait quelque 100 millions d'euros, que cela doublerait le déficit d'Euratlantique. De plus l'arrêt du projet faisait planer des conséquences économiques en chaîne. Après étude , réflexion, et discussion "en vue d'une remise à plat", il a opté pour "une nouvelle trajectoire pour le projet Saget". Le souci du maire étant que le projet de coûte pas aux Métropolitains. Ainsi la révision prévoit diverses réorientations, dont l'attribution de 2000m2 à l'économie sociale et solidaire, l'implantation d'une maison des associations, la construction de davantage de logements, et... la division par deux des places de stationnement. Un comité des enseignes sera mis en place. Le commerce du Cours de la Marne sera également pris en compte. Pierre Hurmic souligne qu'il a été obtenu de pouvoir faire évoluer la programmation commerciale.
Ce ne sera pas le cas, mais celui-ci sera sensiblement repensé avec l'assentiment de APSYS. C'est ce que vient d'expliquer au cours d'une conférence de presse Pierre Hurmic à l'issue d'une réunion du conseil d'administration. Pierre Hurmic a expliqué que l'arrêt du programme coûterait quelque 100 millions d'euros, que cela doublerait le déficit d'Euratlantique. De plus l'arrêt du projet faisait planer des conséquences économiques en chaîne. Après étude , réflexion, et discussion "en vue d'une remise à plat", il a opté pour "une nouvelle trajectoire pour le projet Saget". Le souci du maire étant que le projet de coûte pas aux Métropolitains. Ainsi la révision prévoit diverses réorientations, dont l'attribution de 2000m2 à l'économie sociale et solidaire, l'implantation d'une maison des associations, la construction de davantage de logements, et... la division par deux des places de stationnement. Un comité des enseignes sera mis en place. Le commerce du Cours de la Marne sera également pris en compte. Pierre Hurmic souligne qu'il a été obtenu de pouvoir faire évoluer la programmation commerciale.
Conférence de presse (DR)
Voir les détails du projet modifié à travers le communiqué officiel de la ville de Bordeaux