Ph:d'après Jibi44 (Flickr)
En cette fin d’année 2009, la Région Aquitaine souligne "qu'elle met en place un grand projet ferroviaire pour
l’Aquitaine, avec un investissement de plus de 2,5 milliards d’euros d’ici 2018." "Ce « plan rail », poursuivent les services la Région dans un communiqué, permettra de faire face à la fois à l’accroissement du nombre de voyageurs et à l’état dégradé de nombreuses lignes. Ce grand projet fait suite au Schéma régional des infrastructures, des transports et de l’intermodalité (SRIT), adopté le 9 juillet dernier, qui fait le pari du ferroviaire pour lestransports de marchandises et de voyageurs, et à la nouvelle convention d’exploitation passée avec la SNCF, le 9 juillet également, pour l’exploitation du Ter Aquitaine pour les 10 prochaines années. Cette convention avec la SNCF constituera le socle du grand projet
ferroviaire. Elle s’établit sur une base contractualisée à hauteur de 1,140 milliard d’euros pour la période 2009/1018.
"A cela s’ajoutent les projets de développement de dessertes, avec la création d’une centaine de circulations supplémentaires, qui représentent un investissement régional de l’ordre de 100 millions d’euros supplémentaires en cumulé sur la période 2011/2018.
C’est surtout en matière d’investissement que l’augmentation sera la plus significative, du fait de laconstruction des Lignes à Grande Vitesse. L’évaluation faite pour les dix prochaines années dans le cadre du SRIT conduisait à une prévision de 14 milliards de coût pour l’ensemble des modes dont 10 milliards pour le ferroviaire.
"Pour la Région le montant à investir dans ce cadre sera de l’ordre de 1,3 milliard d’euros :
· 600 millions d’euros pour la LGV Tours - Bordeaux et ses prolongements vers la
frontière espagnole et vers Toulouse,
· 300 millions d’euros pour augmenter la capacité du réseau ferroviaire et pour la
régénération des lignes d’intérêt local,
· 24 millions d’euros pour la modernisation des équipements et des gares,
· 400 millions d’euros pour le renouvellement du matériel.
"In fine, la Région va engager dans le ferroviaire plus de 2,5 milliards d’euros d’ici 2018".
l’Aquitaine, avec un investissement de plus de 2,5 milliards d’euros d’ici 2018." "Ce « plan rail », poursuivent les services la Région dans un communiqué, permettra de faire face à la fois à l’accroissement du nombre de voyageurs et à l’état dégradé de nombreuses lignes. Ce grand projet fait suite au Schéma régional des infrastructures, des transports et de l’intermodalité (SRIT), adopté le 9 juillet dernier, qui fait le pari du ferroviaire pour lestransports de marchandises et de voyageurs, et à la nouvelle convention d’exploitation passée avec la SNCF, le 9 juillet également, pour l’exploitation du Ter Aquitaine pour les 10 prochaines années. Cette convention avec la SNCF constituera le socle du grand projet
ferroviaire. Elle s’établit sur une base contractualisée à hauteur de 1,140 milliard d’euros pour la période 2009/1018.
"A cela s’ajoutent les projets de développement de dessertes, avec la création d’une centaine de circulations supplémentaires, qui représentent un investissement régional de l’ordre de 100 millions d’euros supplémentaires en cumulé sur la période 2011/2018.
C’est surtout en matière d’investissement que l’augmentation sera la plus significative, du fait de laconstruction des Lignes à Grande Vitesse. L’évaluation faite pour les dix prochaines années dans le cadre du SRIT conduisait à une prévision de 14 milliards de coût pour l’ensemble des modes dont 10 milliards pour le ferroviaire.
"Pour la Région le montant à investir dans ce cadre sera de l’ordre de 1,3 milliard d’euros :
· 600 millions d’euros pour la LGV Tours - Bordeaux et ses prolongements vers la
frontière espagnole et vers Toulouse,
· 300 millions d’euros pour augmenter la capacité du réseau ferroviaire et pour la
régénération des lignes d’intérêt local,
· 24 millions d’euros pour la modernisation des équipements et des gares,
· 400 millions d’euros pour le renouvellement du matériel.
"In fine, la Région va engager dans le ferroviaire plus de 2,5 milliards d’euros d’ici 2018".