Candidat déclaré aux primaires, encouragé par les sondages, Alain Juppé, affiche un calme et une sérénité qui contrastent avec le style d'autres hommes ou femmes politiques. A l'occasion de la traditionnelle réunion des voeux à la presse, bien que affirmant son désir de ne pas tenir une conférence politique, et d'en conserver le thème local, le maire de Bordeaux n'a pu éviter -présence de nombreux journalistes aidant-de répondre aux principales questions d'actualité. D'ailleurs, le temps consacré aux dossiers de Bordeaux et de Bordeaux Métropole fut plus court que les années passées. Ce qui ne l'a tout de même pas empêché de faire le tour des projets urbains en cours ou à venir:grands évènements de l'année, grands chantiers, programme de 50 000 logements, préparation d'un plan global de mobilité au niveau de la Métropole...
On trouvera les principaux passages de ses intervention se rapportant à l'actualité dans notre vidéo. Nous en extrayons les passages suivants:
Alain Juppé également formulé des voeux pour la France, "un pays qui sort d'une année douloureuse". Il a salué les victimes des attentats et rappelé la peine des familles, Il s'est également associé à ceux qui rendent hommage aux forces de l'ordre. Une situation que le conduit à dire "que la France a besoin d'un Etat fort" (allusion au titre de son dernier livre). Il exprime sa confiance "en notre pays qui a les moyens de rebondir". Et propose "un printemps français en 2017."
G.G.
On trouvera les principaux passages de ses intervention se rapportant à l'actualité dans notre vidéo. Nous en extrayons les passages suivants:
- LA DECHEANCE DE NATIONALITE
- LES LIGNES TGV et GPSO
- PRIMAIRES ET PRESIDENTIELLE 2017
- SON LIVRE ET SON PROJET
Alain Juppé également formulé des voeux pour la France, "un pays qui sort d'une année douloureuse". Il a salué les victimes des attentats et rappelé la peine des familles, Il s'est également associé à ceux qui rendent hommage aux forces de l'ordre. Une situation que le conduit à dire "que la France a besoin d'un Etat fort" (allusion au titre de son dernier livre). Il exprime sa confiance "en notre pays qui a les moyens de rebondir". Et propose "un printemps français en 2017."
G.G.