Ph copie d'écran France 3
Les patrons de TPE et PME dans la rue, cela n'est pas chose courante. C'est arrivé cependant aujourd'hui. 6000 manifestants à Paris, 4000 à Toulouse, selon la CGPME pour clamer leur ras-le-bol en face des cumuls de charges, les contraintes, le manque de visibilité dans la conduite de leurs entreprises. La CGPME constate notamment :
"La manifestation initiée par la CGPME et 40 fédérations professionnelles, ce matin à Paris et Toulouse, a été un succès. Plus de 6 000 chefs d'entreprise de TPE, PME se sont mobilisés à Paris et 4 000 d'entre eux se sont rassemblés à Toulouse pour manifester leur exaspération et demander davantage de liberté, moins de contraintes et de prélèvements obligatoires. Dans le calme ils ont notamment réclamé la suspension immédiate du compte pénibilité, de l'interdiction d'embaucher à temps partiel moins de 24 heures par semaine et des nouvelles règles encadrant la transmission d'entreprise.
Mettant en avant le slogan "TPE et PME CadenASSEZ", ils ont pu enfin faire entendre la voix de ces chefs d'entreprise, trop souvent oubliés, qui prennent des risques pour faire vivre et développer leur entreprise.
Les Français aiment les petites entreprises. Il faut maintenant que le gouvernement entende l'organisation qui les représente."
"La manifestation initiée par la CGPME et 40 fédérations professionnelles, ce matin à Paris et Toulouse, a été un succès. Plus de 6 000 chefs d'entreprise de TPE, PME se sont mobilisés à Paris et 4 000 d'entre eux se sont rassemblés à Toulouse pour manifester leur exaspération et demander davantage de liberté, moins de contraintes et de prélèvements obligatoires. Dans le calme ils ont notamment réclamé la suspension immédiate du compte pénibilité, de l'interdiction d'embaucher à temps partiel moins de 24 heures par semaine et des nouvelles règles encadrant la transmission d'entreprise.
Mettant en avant le slogan "TPE et PME CadenASSEZ", ils ont pu enfin faire entendre la voix de ces chefs d'entreprise, trop souvent oubliés, qui prennent des risques pour faire vivre et développer leur entreprise.
Les Français aiment les petites entreprises. Il faut maintenant que le gouvernement entende l'organisation qui les représente."