L'intercep Léger (DR)
Le désherbage chimique peut-il véritablement remplacer les chimique, autrement dit le glyphosate? Non pas sans doute sans compliquer le travail des viticulteurs et plomber leurs coûts. En tout cas, selon la chambre d'agriculture de la Gironde, de plus en plus de viticulteurs abandonnent le désherbage chimique au profit d’autres pratiques, comme le désherbage mécanique.
Dernière minute:ces démonstrations sont reportées pour raisons climatiques
Des pratiques qui seront à (re)découvrir les 26 et 27 mars lors de démonstrations organisées à Soulignac et à Martillac par la chambre d’agriculture de la Gironde et l’Antenne ADAR des Deux Rives.
Choisir le désherbage mécanique n’est pas sans risque. On observe parfois des blessures sur les ceps. Surtout, c’est un investissement. Car cela nécessite plus de temps. Car il faut acheter du matériel spécifique : charrue mini-sillon, bineuse à doigt, disque émotteur, désherbeuse à l’eau chaude... Lesquels choisir ? Quels sont les plus efficaces ?
Pour comparer les équipements disponibles sur le marché, les viticulteurs ont rendez-vous le 26 mars à Soulignac et le 27 mars à Martillac. Dix constructeurs présenteront leurs matériels en fonctionnement dans des vignes. Des démonstrations commentées et comparées par les conseillers viticoles et machinisme, afin de guider au mieux les viticulteurs dans leur choix.
Celui-ci doit se faire en fonction du type de sol. C’est pourquoi ces rendez-vous sont programmés sur deux exploitations qui présentent des sols différents :
Comparé au désherbage chimique, le désherbage mécanique est plus technique à mettre en œuvre. Plus long, plus coûteux. Mais il respecte davantage les sols et la vie microbienne. Il favorise le fonctionnement de la vigne, par un meilleur équilibre agronomique. Le désherbage mécanique, c’est aussi l’une des alternatives aux produits phytosanitaires, amenée à se développer avec l’interdiction du glyphosate.
Dernière minute:ces démonstrations sont reportées pour raisons climatiques
Des pratiques qui seront à (re)découvrir les 26 et 27 mars lors de démonstrations organisées à Soulignac et à Martillac par la chambre d’agriculture de la Gironde et l’Antenne ADAR des Deux Rives.
Choisir le désherbage mécanique n’est pas sans risque. On observe parfois des blessures sur les ceps. Surtout, c’est un investissement. Car cela nécessite plus de temps. Car il faut acheter du matériel spécifique : charrue mini-sillon, bineuse à doigt, disque émotteur, désherbeuse à l’eau chaude... Lesquels choisir ? Quels sont les plus efficaces ?
Pour comparer les équipements disponibles sur le marché, les viticulteurs ont rendez-vous le 26 mars à Soulignac et le 27 mars à Martillac. Dix constructeurs présenteront leurs matériels en fonctionnement dans des vignes. Des démonstrations commentées et comparées par les conseillers viticoles et machinisme, afin de guider au mieux les viticulteurs dans leur choix.
Celui-ci doit se faire en fonction du type de sol. C’est pourquoi ces rendez-vous sont programmés sur deux exploitations qui présentent des sols différents :
- - des sols argileux le lundi 26 mars à Soulignac (Vignobles Dulon, 133 Grand Jean à 14 h 00)
- des sols sablonneux le mardi 27 mars à Martillac (Château La Garde, 1 Chemin La Tour à 14 h 00)
Comparé au désherbage chimique, le désherbage mécanique est plus technique à mettre en œuvre. Plus long, plus coûteux. Mais il respecte davantage les sols et la vie microbienne. Il favorise le fonctionnement de la vigne, par un meilleur équilibre agronomique. Le désherbage mécanique, c’est aussi l’une des alternatives aux produits phytosanitaires, amenée à se développer avec l’interdiction du glyphosate.
- Ces démonstrations sont gratuites. Inscription auprès de l’Antenne ADAR des Deux Rives au 05 56 76 65 25