La préfecture de Région d'Aquitaine et la Direction Régionale de l'Agriculture et de la Forêt ont dressé un premier bilan de la tempête du 24 janvier, désormais baptisée Klaus. Elles estiment que les surfaces concernées sont de 300 000 hectares, avec des pertes de l'ordre de 40 à 60%. Des reconnaissances aériennes, selon ces autorités, permettront d'affiner ces chiffres. D'après les services officiels, les urgences sont le dégagement des pistes de DFCI (Défense contre l'incendie), et le déblayage des fossés. Les travaux seront confiés à des entreprises de travaux forestiers "plutôt qu'à des bénévoles pour des questions de sécurité". Il ne sera pas, non plus, recouru à l'Armée en forêt, son intervention étant prévue "de préférence" sur les axes routiers et les zones habitées. Au rang des priorités figurent le rétablissement des communications et le redémarrage des usines arrêtées.
Dans le département des Landes, outre les sylviculteurs, les éleveurs de volailles en liberté dont les marensines (poulaillers) ont été touchées s'inquiètent des conséquences économiques du sinistre. Comme les serristes du Lot-et-Garonne eux-aussi durement frappés.
De leur côté les professionnels de la forêt qui ont été reçus par Michel Barnier affichent leur déception après l'entrevue devant "l'absence d'annonce d'indemnisation rapide". Mais un nouveau rendez-vous est prévu. Le ministre a estimé "qu'il faut en premier lieu obtenir une estimation rapide des dégâts". Mais la sylviculture se trouve face à un vide juridique puisqu'elle n'a pas accès au système des calamités agricoles".
Dans le département des Landes, outre les sylviculteurs, les éleveurs de volailles en liberté dont les marensines (poulaillers) ont été touchées s'inquiètent des conséquences économiques du sinistre. Comme les serristes du Lot-et-Garonne eux-aussi durement frappés.
De leur côté les professionnels de la forêt qui ont été reçus par Michel Barnier affichent leur déception après l'entrevue devant "l'absence d'annonce d'indemnisation rapide". Mais un nouveau rendez-vous est prévu. Le ministre a estimé "qu'il faut en premier lieu obtenir une estimation rapide des dégâts". Mais la sylviculture se trouve face à un vide juridique puisqu'elle n'a pas accès au système des calamités agricoles".