Au temps du SIFEL d'Agen (Ph Paysud)
Le consommateur français peut manger des fruits et légumes en toute tranquillité selon les résultats d'une étude du collectif "Sauvons les Fruits et Légumes de France" et d'après celui-ci, toute communication inverse est infondée. L'étude constate notamment:
Les échantillons de tomates et salades analysés ont fait l'objet d'environ 2 800 recherches de résidus (479 substances phytosanitaires par échantillon ). Seules 16 substances ont pu être quantifiées. 99,3% des recherches sur l'ensemble des échantillons ont montré l'absence de résidus.
Ces chiffres sont comparables à ceux publiés régulièrement par les agences officielles. Ainsi, selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), des pesticides ont été quantifiés dans seulement 0,45% des analyses (rapport d'avril 2014)".
« Ces résultats apportent une preuve supplémentaire des efforts constants des producteurs en matière de sécurité sanitaire», observe Bernard Géry, porte-parole du Collectif Sauvons les Fruits et Légumes de France. « Rien ne justifie donc une quelconque communication alarmiste telle que nous le voyons parfois de la part de certaines associations environnementalistes. Reste que nous devons être toujours particulièrement vigilants à chaque stade, de la production au consommateur final en passant par les circuits de distribution (circuits courts ou supermarchés).
- Microbiologie
- Résidus phytosanitaires
Les échantillons de tomates et salades analysés ont fait l'objet d'environ 2 800 recherches de résidus (479 substances phytosanitaires par échantillon ). Seules 16 substances ont pu être quantifiées. 99,3% des recherches sur l'ensemble des échantillons ont montré l'absence de résidus.
Ces chiffres sont comparables à ceux publiés régulièrement par les agences officielles. Ainsi, selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), des pesticides ont été quantifiés dans seulement 0,45% des analyses (rapport d'avril 2014)".
« Ces résultats apportent une preuve supplémentaire des efforts constants des producteurs en matière de sécurité sanitaire», observe Bernard Géry, porte-parole du Collectif Sauvons les Fruits et Légumes de France. « Rien ne justifie donc une quelconque communication alarmiste telle que nous le voyons parfois de la part de certaines associations environnementalistes. Reste que nous devons être toujours particulièrement vigilants à chaque stade, de la production au consommateur final en passant par les circuits de distribution (circuits courts ou supermarchés).