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Le projet de loi de Finances 2015, met les chambres d'agriculture dans une grande colère. L'APCA (Assemblée Permanente des Chambres d'Agriculture) constate "L’Etat avec des finances publiques exsangues décide de prélever sans discernement 45 millions d’euros, au titre de l’année 2015, sur les financements des Chambres d’agriculture par le biais d’un fonds national de solidarité et de péréquation. Ce fonds sera créé au sein de l’Assemblée Permanente des Chambres d’agriculture et abondé par les fonds de roulement excédant 90 jours de fonctionnement de chaque Chambre. Pourquoi un tel fonds, il existe déjà , sous tutelle du ministère de l’agriculture ! Est ce au nom de la simplification administrative ? Bravo ! Ce fonds devra aussi intervenir en solidarité aux Chambres d’agriculture fragilisées par ces mesures iniques. Bravo !."...
De son côté Bernard Artigue, membre du bureau national, président de la chambre d'agriculture de la Gironde ajoute :"Les Chambres d'Agriculture réagissent vivement à l'annonce du projet de loi de Finances 2015 qui prévoit de ponctionner plus de 100 millions d'euros sur les ressources des Chambres d'Agriculture auxquelles viendra s'ajouter une baisse de 45 millions d'euros sur trois ans de leurs recettes fiscales".
Il estime que "ce prélèvement scandaleux pénalise la bonne gestion des Chambres et viendra directement impacter leurs moyens de développement au service des agriculteurs et des territoires. Nous en appelons au bon sens des parlementaires pour rectifier cette profonde injustice."
De son côté Bernard Artigue, membre du bureau national, président de la chambre d'agriculture de la Gironde ajoute :"Les Chambres d'Agriculture réagissent vivement à l'annonce du projet de loi de Finances 2015 qui prévoit de ponctionner plus de 100 millions d'euros sur les ressources des Chambres d'Agriculture auxquelles viendra s'ajouter une baisse de 45 millions d'euros sur trois ans de leurs recettes fiscales".
Il estime que "ce prélèvement scandaleux pénalise la bonne gestion des Chambres et viendra directement impacter leurs moyens de développement au service des agriculteurs et des territoires. Nous en appelons au bon sens des parlementaires pour rectifier cette profonde injustice."