La région Occitanie communique:
"A quelques jours du premier tour de l'élection présidentielle et alors que le président de SNCF est à Toulouse ce 19 avril, Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Georges Méric, président du Conseil départemental de Haute-Garonne, et Jean-Luc Moudenc, président de Toulouse Métropole, réaffirment d'une seule voix la nécessité de la grande vitesse à Toulouse :
« Comment concevoir aujourd'hui que la 4ème ville de France soit mise à l'écart de la grande vitesse et de toutes les retombées positives qu'elle entraîne pour le territoire ?
A nos côtés, de nombreuses collectivités partenaires, des acteurs socio-économiques, des usagers, des associations, la réclament et l'attendent.
Nous ne pouvons pas être le chaînon manquant de la grande vitesse du Sud-Ouest européen. Nous formons un pack, mobilisé plus que jamais, pour défendre ce projet indispensable à notre territoire et à l'Europe, qui doit mettre Toulouse à 3h10 de Paris.
Aussi, nous adressons un appel aux candidats à l'élection présidentielle. Nous leur demandons de confirmer le lancement de la ligne Bordeaux-Toulouse, selon les engagements pris depuis le début du projet Grand Projet Sud-Ouest (GPSO)".
Il faut la grande vitesse à Toulouse."
"A quelques jours du premier tour de l'élection présidentielle et alors que le président de SNCF est à Toulouse ce 19 avril, Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Georges Méric, président du Conseil départemental de Haute-Garonne, et Jean-Luc Moudenc, président de Toulouse Métropole, réaffirment d'une seule voix la nécessité de la grande vitesse à Toulouse :
« Comment concevoir aujourd'hui que la 4ème ville de France soit mise à l'écart de la grande vitesse et de toutes les retombées positives qu'elle entraîne pour le territoire ?
- Toulouse, la Haute-Garonne et l'ensemble d'Occitanie / Pyrénées-Méditerranée ne peuvent pas rester sans liaison ferroviaire à très grande vitesse avec le reste du pays
A nos côtés, de nombreuses collectivités partenaires, des acteurs socio-économiques, des usagers, des associations, la réclament et l'attendent.
Nous ne pouvons pas être le chaînon manquant de la grande vitesse du Sud-Ouest européen. Nous formons un pack, mobilisé plus que jamais, pour défendre ce projet indispensable à notre territoire et à l'Europe, qui doit mettre Toulouse à 3h10 de Paris.
Aussi, nous adressons un appel aux candidats à l'élection présidentielle. Nous leur demandons de confirmer le lancement de la ligne Bordeaux-Toulouse, selon les engagements pris depuis le début du projet Grand Projet Sud-Ouest (GPSO)".
Il faut la grande vitesse à Toulouse."