Les journalistes du SNJ -qui ont tenu ce jour une assemblée générale- ainsi que le syndicat SO Média CGT lequel représente ouvriers, employés, cadres et journalistes, ont affirmé leur détermination face au plan de suppression d'emplois annoncé par la direction du journal Sud Ouest. Sans toutefois décréter de mouvement de grève immédiat. Dans un communiqué le SNJ annonce "une mobilisation durable" qui pourrait se préciser au fur et à mesure de la présentation de la restructuration dans les Agences départementales. L'assemblée générale avait fortement mobilisé les journalistes de celles-ci, en particulier ceux du Béarn, du Gers, des Landes, du Lot-et-Garonne. " La mobilisation de vendredi, affirme le SNJ dans un communiqué, a démontré que les salariés ont répondu « non » au plan qui a été présenté. Elle prendra des formes diverses et qui seront adaptées aux évolutions de cette négociation. Les propositions de modes d’actions seront portées à la connaissance de la communauté afin que chaque équipe puisse profiter de la créativité et du retour d’expérience des autres. Dans chaque agence des référents se sont engagés à lister et proposer les dites actions. Ces actions, « surprises » ou annoncées, à l’intérieur comme à l’extérieur du journal, auront pour objet d’exercer une pression permanente, notamment au moment des réunions de négociation. Il s’agit de mobiliser à et autour de Sud Ouest.
De son côté SOM -CGT a décidé d'écrire "dans un premier temps" au Directoire. "afin de lui indiquer l'impérieuse nécessité de garantir paritairement qu'il n'y aurait, dans le cadre de ce plan, ni départ contraint ni licenciement". Ce syndicat considère "qu'il n'y a pas de fatalité". "Concernant le plan par lui‐même ‐ et notamment les fermetures d'agences qu'il préconise ‐ chacun doit être persuadé qu'il est tout à fait possible de bouger les lignes et d'obtenir, en faisant des propositions, une très sensible modification des prétentions patronales."
De son côté SOM -CGT a décidé d'écrire "dans un premier temps" au Directoire. "afin de lui indiquer l'impérieuse nécessité de garantir paritairement qu'il n'y aurait, dans le cadre de ce plan, ni départ contraint ni licenciement". Ce syndicat considère "qu'il n'y a pas de fatalité". "Concernant le plan par lui‐même ‐ et notamment les fermetures d'agences qu'il préconise ‐ chacun doit être persuadé qu'il est tout à fait possible de bouger les lignes et d'obtenir, en faisant des propositions, une très sensible modification des prétentions patronales."