Serge Bousquet-Cassagne, président de la chambre d'agriculture de Lot-et-Garonne, communique:
"Nos éleveurs valent bien les grecs !
"Les éleveurs français se sont grandement endettés à cause des mises aux normes intempestives, des zones vulnérables et autres, liées à des prix bien bas. Le gouvernement par son "laisser faire" et sa couardise face à la grande distribution finit de les achever.
La solution est simple : appliquer à nos éleveurs le même régime que la Grèce :
- repousser aux "calendes grecques" leurs dettes.
- faire abandonner par les banques, notamment le Crédit Agricole, les mêmes sommes qu'ils ont abandonnées pour les Grecs.
Il est indécent de voir dans le même été la France au chevet d'une Grèce sans cadastre, sans impôt, sans charge, sans règle et négliger ses propres éleveurs perclus de contrôles, de charges, de normes et de contraintes. Abandonner les meilleurs des français, M. Hollande, c'est donner une prime au désespoir".
Serge Bousquet-Cassagne, président"
"Nos éleveurs valent bien les grecs !
"Les éleveurs français se sont grandement endettés à cause des mises aux normes intempestives, des zones vulnérables et autres, liées à des prix bien bas. Le gouvernement par son "laisser faire" et sa couardise face à la grande distribution finit de les achever.
La solution est simple : appliquer à nos éleveurs le même régime que la Grèce :
- repousser aux "calendes grecques" leurs dettes.
- faire abandonner par les banques, notamment le Crédit Agricole, les mêmes sommes qu'ils ont abandonnées pour les Grecs.
Il est indécent de voir dans le même été la France au chevet d'une Grèce sans cadastre, sans impôt, sans charge, sans règle et négliger ses propres éleveurs perclus de contrôles, de charges, de normes et de contraintes. Abandonner les meilleurs des français, M. Hollande, c'est donner une prime au désespoir".
Serge Bousquet-Cassagne, président"