Le message de la préfète Fabienne Buccio (capture d'écran-DR)
Construit au 16e siècle, symbole de la volonté des autorités de Guyenne et de la royauté, le phare de Cordouan a vu beaucoup d'eau s'écouler dans la Gironde pour reprendre un adage populaire. Il est à la fois un ouvrage architectural remarquable en même temps qu'un témoignage historique. Il est, de plus, le phare français le plus ancien encore en activité. De nos jours, au-delà de son rôle utilitaire pour le passage des bateaux dans l'estuaire, il constitue un élément d'attraction touristique. Les collectivités locales médocaines espèrent renforcer encore cette attractivité -surtout par l'impact sur la vie des territoires, les capacités d'accueil de l'ouvrage lui-même étant limitées-par son inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO. Une candidature formulée depuis plusieurs mois et qui pourrait aboutir dans le courant de l'été.
Ce jour les partenaires concernés, à travers un webinaire d'une journée, avec la contribution de plusieurs intervenants qualifiés, ont passé en revue les bonnes raisons de cette reconnaissance. Se sont succédés Fabienne Buccio, préfète de la région Nouvelle-Aquitaine (message vidéo), Pascale Got présidente du SMIDDEST, Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine, Vincent Guigueno, historien, conservateur en chef du patrimoine, Anne-Marie Cocula-Vaillières , historienne, présidente honoraire de l’université Bordeaux-Montaigne, etc. Dans l'après-midi deux témoignages marquants sous l'angle de l'exploitation d'un site ayant obtenu l'inscription: celui de Mike Robinson (site d'archéologie industrielle d'Ironbridge en Angleterre) et celui de Laurent Cyrot (Canal du Midi).
On aura retenu que le site anglais inscrit se gère par le ticket d'entrée et sans subvention, et que côté Occitanie, une gouvernance associant les collectivités- et peut-être bientôt le public- a été mise en place. Frank Laporte, maire de Talais, vice-président du PNR Médoc, et Jacques Bidalun, maire du Verdon, ont fait part des perspectives en ce qui concerne les prochaines étapes.
Ce jour les partenaires concernés, à travers un webinaire d'une journée, avec la contribution de plusieurs intervenants qualifiés, ont passé en revue les bonnes raisons de cette reconnaissance. Se sont succédés Fabienne Buccio, préfète de la région Nouvelle-Aquitaine (message vidéo), Pascale Got présidente du SMIDDEST, Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine, Vincent Guigueno, historien, conservateur en chef du patrimoine, Anne-Marie Cocula-Vaillières , historienne, présidente honoraire de l’université Bordeaux-Montaigne, etc. Dans l'après-midi deux témoignages marquants sous l'angle de l'exploitation d'un site ayant obtenu l'inscription: celui de Mike Robinson (site d'archéologie industrielle d'Ironbridge en Angleterre) et celui de Laurent Cyrot (Canal du Midi).
On aura retenu que le site anglais inscrit se gère par le ticket d'entrée et sans subvention, et que côté Occitanie, une gouvernance associant les collectivités- et peut-être bientôt le public- a été mise en place. Frank Laporte, maire de Talais, vice-président du PNR Médoc, et Jacques Bidalun, maire du Verdon, ont fait part des perspectives en ce qui concerne les prochaines étapes.