La crise du COVID aura décidément bouleversé bien des habitudes. C'est le cas dans le domaine de l'immobilier. La FNSAFER avait lors de son dernier point déjà détecté la tendance: les centres urbains n'ont plus la cote. Ces jours-ci une étude du site internet PAP.fr confirme le mouvement en cours essentiellement à partir d'une observation sur Paris et la région parisienne.
Depuis le déconfinement la recherche de biens sur Paris a diminué de 5% alors que les recherches en dehors, et dans la grande couronne ont augmenté de 46% , et de 55% sur les maisons, avec 39% des acheteurs prêts à signer.
Le changement, selon PAP, ne concerne pas que la région parisienne. "La tendance observée depuis mai 2020 d’explosion des recherches de biens à acquérir, se confirme et se renforce même dans la plupart des secteurs, aussi bien en Ile-de-France qu’en région."
PAP précise: "PAP.fr a constaté sur son site du 1er au 31 août 2020, une hausse des recherches de biens à acheter de + 60 % par rapport à août 2019 en Ile-de-France et dans les départements limitrophes. C’est encore plus que les +46% de hausse constatés en mai 2020 ! Paris n’a plus la cote ! Tous les départements d’Ile-de-France, de même que l’Eure, l’Eure et Loir, le Loiret, l'Yonne et l'Oise connaissent une forte hausse de recherches de biens à acheter. Sauf Paris, qui pour la première fois, est en baisse par rapport au mois d’août 2019 : -5 %".
La Grande Couronne progresse en moyenne de 83%, et la Seine-et-Marne en particulier voit son attrait exploser : +118% de recherches par rapport à août 2019. Les départements limitrophes à l’Ile-de-France progressent également de 83% en moyenne, vers le Nord dans l’Oise (+78%), vers l’Ouest dans l’Eure (+102%) et l’Eure et Loir (+65%), ou vers le Sud, dans le Loiret (+82%) ou l’Yonne (+88%).
PAP ajoute:"Partout, les recherches autour des villes progressent plus que dans les villes elles-mêmes. Ainsi, quand Bordeaux progresse de 21%, la Gironde progresse de 70%. Quand Lyon progresse de 37%, le Rhône progresse de 86%. Les recherches des Français s’éloignent donc des centres-villes."
Le développement du télé-travail paraît favoriser le mouvement. Et il ne s'agit pas de recherche de résidences secondaires, le taux de recherche de celles-ci ne variant guère.
Depuis le déconfinement la recherche de biens sur Paris a diminué de 5% alors que les recherches en dehors, et dans la grande couronne ont augmenté de 46% , et de 55% sur les maisons, avec 39% des acheteurs prêts à signer.
Le changement, selon PAP, ne concerne pas que la région parisienne. "La tendance observée depuis mai 2020 d’explosion des recherches de biens à acquérir, se confirme et se renforce même dans la plupart des secteurs, aussi bien en Ile-de-France qu’en région."
PAP précise: "PAP.fr a constaté sur son site du 1er au 31 août 2020, une hausse des recherches de biens à acheter de + 60 % par rapport à août 2019 en Ile-de-France et dans les départements limitrophes. C’est encore plus que les +46% de hausse constatés en mai 2020 ! Paris n’a plus la cote ! Tous les départements d’Ile-de-France, de même que l’Eure, l’Eure et Loir, le Loiret, l'Yonne et l'Oise connaissent une forte hausse de recherches de biens à acheter. Sauf Paris, qui pour la première fois, est en baisse par rapport au mois d’août 2019 : -5 %".
La Grande Couronne progresse en moyenne de 83%, et la Seine-et-Marne en particulier voit son attrait exploser : +118% de recherches par rapport à août 2019. Les départements limitrophes à l’Ile-de-France progressent également de 83% en moyenne, vers le Nord dans l’Oise (+78%), vers l’Ouest dans l’Eure (+102%) et l’Eure et Loir (+65%), ou vers le Sud, dans le Loiret (+82%) ou l’Yonne (+88%).
PAP ajoute:"Partout, les recherches autour des villes progressent plus que dans les villes elles-mêmes. Ainsi, quand Bordeaux progresse de 21%, la Gironde progresse de 70%. Quand Lyon progresse de 37%, le Rhône progresse de 86%. Les recherches des Français s’éloignent donc des centres-villes."
Le développement du télé-travail paraît favoriser le mouvement. Et il ne s'agit pas de recherche de résidences secondaires, le taux de recherche de celles-ci ne variant guère.