La mobilisation contre la Loi Travail continue en Gironde. Le "collectif de lutte de la rive droite" indique dans un communiqué
"C’est vers 22H30 ( ce jour) qu’une centaine de personnes, se réclamant du collectif de lutte de la rive droite, ont bloqué l’entrepôt Passion froid du groupe Pomona et Delanchy situé à Tresses en Gironde, empêchant toutes sorties. Le collectif revendique l’abrogation de la «loi travail», la renégociation de l’assurance chômage et dénonce le énième déni de démocratie de ce gouvernement.
En effet, nous restons convaincu.e.s que c'est en portant un coup économique aux patrons, et donc en menant des actions de blocage sur l'économie, que nous ferons plier l’État et le patronat.
Ce collectif est constitué de militant-e-s et citoyen-ne-s d’horizons multiples et en est à sa troisième action dont ce second blocage d’activité économique depuis sa création le 3 mai 2016. On y retrouve des lycéen-e-s, des étudiant-e-s, des travailleurs-ses du privé et du public, syndiqué-e-s ou non syndiqué-e-s, des chômeurs-ses, des retraité.e.s, des précaires, des retraité-e-s, des intermittent.e.s et des nuitdeboutistes".
Et d'ajouter:"Puis très rapidement, les forces de police ont bloqué des axes routiers aux manifestants, à plusieurs reprises. Des tensions sont apparues entre les manifestants qui souhaitaient déambuler dans la ville, et la police. Malgré le fait que les manifestants étaient pacifistes, non armés et avaient les mains en l’air, des CRS ont gazé et chargé la foule au milieu de la rue Sainte-Catherine. Des personnes qui se trouvaient là par hasard ont ainsi été touchées. La situation était extrêmement violente, notamment devant le lycée Montaigne ou des élèves venaient de sortir, sans savoir ce qu’il se passait.
Le bilan : de nombreux blessés sont à déplorer parmi les manifestants et les civils".
"C’est vers 22H30 ( ce jour) qu’une centaine de personnes, se réclamant du collectif de lutte de la rive droite, ont bloqué l’entrepôt Passion froid du groupe Pomona et Delanchy situé à Tresses en Gironde, empêchant toutes sorties. Le collectif revendique l’abrogation de la «loi travail», la renégociation de l’assurance chômage et dénonce le énième déni de démocratie de ce gouvernement.
En effet, nous restons convaincu.e.s que c'est en portant un coup économique aux patrons, et donc en menant des actions de blocage sur l'économie, que nous ferons plier l’État et le patronat.
Ce collectif est constitué de militant-e-s et citoyen-ne-s d’horizons multiples et en est à sa troisième action dont ce second blocage d’activité économique depuis sa création le 3 mai 2016. On y retrouve des lycéen-e-s, des étudiant-e-s, des travailleurs-ses du privé et du public, syndiqué-e-s ou non syndiqué-e-s, des chômeurs-ses, des retraité.e.s, des précaires, des retraité-e-s, des intermittent.e.s et des nuitdeboutistes".
- LYCEENS:LE BILAN DU 12 MAI
Et d'ajouter:"Puis très rapidement, les forces de police ont bloqué des axes routiers aux manifestants, à plusieurs reprises. Des tensions sont apparues entre les manifestants qui souhaitaient déambuler dans la ville, et la police. Malgré le fait que les manifestants étaient pacifistes, non armés et avaient les mains en l’air, des CRS ont gazé et chargé la foule au milieu de la rue Sainte-Catherine. Des personnes qui se trouvaient là par hasard ont ainsi été touchées. La situation était extrêmement violente, notamment devant le lycée Montaigne ou des élèves venaient de sortir, sans savoir ce qu’il se passait.
Le bilan : de nombreux blessés sont à déplorer parmi les manifestants et les civils".