Le groupe Maïsadour communique:
"A l’occasion de son Assemblée Générale, mardi 1er décembre 2009, le Groupe Coopératif Maïsadour a présenté ses résultats permettant d’ouvrir le débat sur les capacités du concept coopératif à résister aux crises. Crise financière, crise de consommation, crise sans précédent… le Groupe affiche un Chiffre d’Affaires de 1 milliard d’euro, malgré un contexte économique difficile et de plus en plus complexe. Invité à s’exprimer sur ces questions, Philippe Dessertine*, professeur d’économie à Paris X et directeur de l’Institut de Haute Finance, membre de la commission Grand Emprunt, a brossé un tableau décapant de la situation. Ce qui a bien évidemment conduit l’assistance à poser de nombreuses questions. Le débat qui a suivi s’en trouvé très riche et de grande qualité.
Préalablement à ces interventions, administrateurs et délégués représentant l’ensemble des 8 000 adhérents ont pu faire un tour d'horizon sur l'exercice 2008-2009. Avec un chiffre d’affaires de 1 003 millions d’euro, le Groupe affiche un résultat consolidé de 11,3 millions d’euro. Résultat satisfaisant avec un Chiffre d’Affaires en croissance, conforme au budget 2008-2009 qui prenait en compte les éléments conjoncturels défavorables. Le pôle aval poursuit sa croissance, + 21 % de chiffre d’affaires, et dégage un résultat net positif qui démontre la bonne résistance de ce modèle économique à la crise de consommation.
Les faits marquants de l’exercice 2008-2009 sont :
-La redistribution de résultat à hauteur de 2,8 millions d’euro en faveur des adhérents mis en difficulté par la tempête Klaus et la volatilité des cours des matières premières impactant le coût des intrants et le cours des céréales.
- La création de Sud-Ouest Aliment : alliance de Maïsadour, Vivadour et Gascoval.
-Le renforcement de l’activité à l’international de Maïsadour Semences au travers du développement sur les pays d’Europe de l’Est : naissance des filiales en Russie et en Ukraine, avec la construction du site de production de Semences à Moguilev (Ukraine).
-La crise de la consommation a fortement impacté l’activité de la branche légumes.
-Les difficultés rencontrées par les productions animales : baisse des volumes en palmipèdes à foie gras (recommandée par le Cifog), dégâts de la tempête Klaus sur les outils de production en volailles et palmipèdes. Fin décembre 2009, la reconstruction sur les exploitations est quasiment terminée (93 % des bâtiments sont de nouveau opérationnels).
- Le rachat de la société Chevallier (Jambon de Bayonne) permettant à Delpeyrat de contribuer favorablement à la croissance du marché.
-La prise de participation de MVVH (Maïsadour Vivadour Val de Sèvre Holding) dans la société Auguste Rey (truffe et foie gras), et dans le Groupe Excel Développement (foie gras).
-Enfin, malgré le contexte de crise, les Jardineries ont su maintenir et développer leur activité avec pour ambition de consolider le réseau dans les Landes et en Gironde.
Conformément à ses engagements le Groupe Coopératif poursuit sa démarche du Développement Durable. Ainsi la publication d’un état des lieux dans le domaine permet de faire le point très précis des actions menées dans les différentes branches du Groupe.
Soulignons la notation extra-financière du Groupe : BBB+, délivrée par le cabinet BMJ Ratings et initiée par le comité de pilotage de Coop de France. Elle vient récompenser l’ensemble des mesures mises en place à tous les niveaux dans l’entreprise.
Les Résultats chiffrés:
Un chiffre d’affaires équilibré entre le pôle amont et le pôle aval : 1 003 millions d’€ de CA
· 11,3 millions d’€ de résultat
· 40,5 millions d’€ de marge brute d’autofinancement (4 % du CA)
· 3 263 salariés
· 8 000 agriculteurs en Aquitaine
* Philippe Dessertine, économiste et directeur de l’institut de Haute Finance, est l’auteur de l’ouvrage
« Ceci n’est pas une crise, juste la fin d’un monde ».
"A l’occasion de son Assemblée Générale, mardi 1er décembre 2009, le Groupe Coopératif Maïsadour a présenté ses résultats permettant d’ouvrir le débat sur les capacités du concept coopératif à résister aux crises. Crise financière, crise de consommation, crise sans précédent… le Groupe affiche un Chiffre d’Affaires de 1 milliard d’euro, malgré un contexte économique difficile et de plus en plus complexe. Invité à s’exprimer sur ces questions, Philippe Dessertine*, professeur d’économie à Paris X et directeur de l’Institut de Haute Finance, membre de la commission Grand Emprunt, a brossé un tableau décapant de la situation. Ce qui a bien évidemment conduit l’assistance à poser de nombreuses questions. Le débat qui a suivi s’en trouvé très riche et de grande qualité.
Préalablement à ces interventions, administrateurs et délégués représentant l’ensemble des 8 000 adhérents ont pu faire un tour d'horizon sur l'exercice 2008-2009. Avec un chiffre d’affaires de 1 003 millions d’euro, le Groupe affiche un résultat consolidé de 11,3 millions d’euro. Résultat satisfaisant avec un Chiffre d’Affaires en croissance, conforme au budget 2008-2009 qui prenait en compte les éléments conjoncturels défavorables. Le pôle aval poursuit sa croissance, + 21 % de chiffre d’affaires, et dégage un résultat net positif qui démontre la bonne résistance de ce modèle économique à la crise de consommation.
Les faits marquants de l’exercice 2008-2009 sont :
-La redistribution de résultat à hauteur de 2,8 millions d’euro en faveur des adhérents mis en difficulté par la tempête Klaus et la volatilité des cours des matières premières impactant le coût des intrants et le cours des céréales.
- La création de Sud-Ouest Aliment : alliance de Maïsadour, Vivadour et Gascoval.
-Le renforcement de l’activité à l’international de Maïsadour Semences au travers du développement sur les pays d’Europe de l’Est : naissance des filiales en Russie et en Ukraine, avec la construction du site de production de Semences à Moguilev (Ukraine).
-La crise de la consommation a fortement impacté l’activité de la branche légumes.
-Les difficultés rencontrées par les productions animales : baisse des volumes en palmipèdes à foie gras (recommandée par le Cifog), dégâts de la tempête Klaus sur les outils de production en volailles et palmipèdes. Fin décembre 2009, la reconstruction sur les exploitations est quasiment terminée (93 % des bâtiments sont de nouveau opérationnels).
- Le rachat de la société Chevallier (Jambon de Bayonne) permettant à Delpeyrat de contribuer favorablement à la croissance du marché.
-La prise de participation de MVVH (Maïsadour Vivadour Val de Sèvre Holding) dans la société Auguste Rey (truffe et foie gras), et dans le Groupe Excel Développement (foie gras).
-Enfin, malgré le contexte de crise, les Jardineries ont su maintenir et développer leur activité avec pour ambition de consolider le réseau dans les Landes et en Gironde.
Conformément à ses engagements le Groupe Coopératif poursuit sa démarche du Développement Durable. Ainsi la publication d’un état des lieux dans le domaine permet de faire le point très précis des actions menées dans les différentes branches du Groupe.
Soulignons la notation extra-financière du Groupe : BBB+, délivrée par le cabinet BMJ Ratings et initiée par le comité de pilotage de Coop de France. Elle vient récompenser l’ensemble des mesures mises en place à tous les niveaux dans l’entreprise.
Les Résultats chiffrés:
Un chiffre d’affaires équilibré entre le pôle amont et le pôle aval : 1 003 millions d’€ de CA
· 11,3 millions d’€ de résultat
· 40,5 millions d’€ de marge brute d’autofinancement (4 % du CA)
· 3 263 salariés
· 8 000 agriculteurs en Aquitaine
* Philippe Dessertine, économiste et directeur de l’institut de Haute Finance, est l’auteur de l’ouvrage
« Ceci n’est pas une crise, juste la fin d’un monde ».