A l’occasion de son assemblée générale annuelle tenue en distanciel, la coopérative Maïsadour a fait le point sur son exercice 2019-2020 et sur les principaux objectifs qu’elle se fixe pour accélérer sa transition vers une agriculture responsable et durable au service du territoire et redresser sa filière canard gras.
Un plan clair après un exercice contrasté
Maïsadour clôture son exercice 2019-2020 avec un chiffre d'affaires stable à 1,358 milliard d’euros. Dans un contexte particulier (marchés en baisse, loi EGalim limitant les promotions, Covid-19), les activités des pôles semence et agricole ont amélioré significativement leurs résultats, avec un record de ventes et parts de marché sur les semences de maïs. La situation des pôles volaille et gastronomie est plus contrastée, avec une amélioration sur les catégories saumon, poisson frais et salaison. En revanche, la filière canard gras fait face, comme la plupart des opérateurs, à de grandes difficultés, accentuées par la crise Covid-19. “Nous travaillons sans relâche à la réorganisation de cette filière”, déclare Philippe Carré, directeur général de Maïsadour. Un plan stratégique, “Rebond 2023”, a été mis en place au printemps pour permettre à l’activité canard gras du pôle gastronomie (MVVH) de moderniser son outil industriel, d’accélérer son développement commercial et d’adapter ses organisations pour retrouver de la rentabilité.
Mobilisation dès le début de la crise Covid-19
En tant qu’acteur des secteurs agricole et agroalimentaire, la coopérative s’est mobilisée dès le début pour gérer cette crise. “La santé et la protection des salariés ont été notre priorité. Je tiens à remercier nos adhérents et nos salariés car leur engagement a été total”, explique Philippe Carré. Toutes les activités ont continué à fonctionner pour approvisionner les agriculteurs, leur permettre de poursuivre leurs activités, fournir les distributeurs et les autres clients de la coopérative. “Dans chaque crise, notre esprit coopératif voit une opportunité”, rappelle Michel Prugue, président de Maïsadour. “Cette période a permis à la population de se réapproprier la relation avec l’agriculteur. Les Français ont fait du local et de la qualité des priorités”, confie-t-il. “Les nouvelles attentes de consommation générées par cette crise sont de bonnes nouvelles pour notre coopérative et son territoire : nos produits sains et savoureux sont issus des productions d’agriculteurs passionnés, garants de la transmission de leur métier dans un milieu préservé”, explique Michel Prugue.
Pour accélérer la transformation de Maïsadour
Dans ce contexte instable et imprévisible, “il est important d’écouter le marché et les consommateurs pour être au plus près de leurs attentes, et donc de valoriser les productions de nos agriculteurs”, indique Philippe Carré. Le Groupe coopératif poursuit sa feuille de route Maïsadour 2026 et accélère sa transformation en s’appuyant sur deux leviers clés : l’innovation et le développement durable. Produire des énergies renouvelables via la micro-méthanisation à la ferme, s’engager et communiquer sur la bientraitance animale avec l'Étiquetage Bien-Être Animal, développer les circuits courts avec les boutiques En Direct De Nos Producteurs, développer de nouvelles filières comme le soja local…. “Maïsadour souhaite aller plus loin, évaluer, mesurer et challenger ses pratiques, amplifier une démarche continue de progrès au service d’une agriculture responsable et durable, en co-construction avec les agriculteurs et en adéquation avec les attentes des consommateurs”, témoigne Michel Prugue.
Un plan clair après un exercice contrasté
Maïsadour clôture son exercice 2019-2020 avec un chiffre d'affaires stable à 1,358 milliard d’euros. Dans un contexte particulier (marchés en baisse, loi EGalim limitant les promotions, Covid-19), les activités des pôles semence et agricole ont amélioré significativement leurs résultats, avec un record de ventes et parts de marché sur les semences de maïs. La situation des pôles volaille et gastronomie est plus contrastée, avec une amélioration sur les catégories saumon, poisson frais et salaison. En revanche, la filière canard gras fait face, comme la plupart des opérateurs, à de grandes difficultés, accentuées par la crise Covid-19. “Nous travaillons sans relâche à la réorganisation de cette filière”, déclare Philippe Carré, directeur général de Maïsadour. Un plan stratégique, “Rebond 2023”, a été mis en place au printemps pour permettre à l’activité canard gras du pôle gastronomie (MVVH) de moderniser son outil industriel, d’accélérer son développement commercial et d’adapter ses organisations pour retrouver de la rentabilité.
Mobilisation dès le début de la crise Covid-19
En tant qu’acteur des secteurs agricole et agroalimentaire, la coopérative s’est mobilisée dès le début pour gérer cette crise. “La santé et la protection des salariés ont été notre priorité. Je tiens à remercier nos adhérents et nos salariés car leur engagement a été total”, explique Philippe Carré. Toutes les activités ont continué à fonctionner pour approvisionner les agriculteurs, leur permettre de poursuivre leurs activités, fournir les distributeurs et les autres clients de la coopérative. “Dans chaque crise, notre esprit coopératif voit une opportunité”, rappelle Michel Prugue, président de Maïsadour. “Cette période a permis à la population de se réapproprier la relation avec l’agriculteur. Les Français ont fait du local et de la qualité des priorités”, confie-t-il. “Les nouvelles attentes de consommation générées par cette crise sont de bonnes nouvelles pour notre coopérative et son territoire : nos produits sains et savoureux sont issus des productions d’agriculteurs passionnés, garants de la transmission de leur métier dans un milieu préservé”, explique Michel Prugue.
Pour accélérer la transformation de Maïsadour
Dans ce contexte instable et imprévisible, “il est important d’écouter le marché et les consommateurs pour être au plus près de leurs attentes, et donc de valoriser les productions de nos agriculteurs”, indique Philippe Carré. Le Groupe coopératif poursuit sa feuille de route Maïsadour 2026 et accélère sa transformation en s’appuyant sur deux leviers clés : l’innovation et le développement durable. Produire des énergies renouvelables via la micro-méthanisation à la ferme, s’engager et communiquer sur la bientraitance animale avec l'Étiquetage Bien-Être Animal, développer les circuits courts avec les boutiques En Direct De Nos Producteurs, développer de nouvelles filières comme le soja local…. “Maïsadour souhaite aller plus loin, évaluer, mesurer et challenger ses pratiques, amplifier une démarche continue de progrès au service d’une agriculture responsable et durable, en co-construction avec les agriculteurs et en adéquation avec les attentes des consommateurs”, témoigne Michel Prugue.