Michel Prugue,président de Maïsadour (ph DR)
A l'occasion de l'assemblée générale du groupe, Maïsadour (Haut-Mauco, dans les Landes) vient de faire preuve d'une belle solidité. Malgré une baisse de son chiffre d'affaires (-8,8 %) liée à l'impact d'une seconde influenza aviaire d'une ampleur exceptionnelle, et à une récolte de céréales modeste, le groupe coopératif redresse sa situation financière avec un résultat net consolidé positif à 4.8 millions d'€ et un résultat brut d'exploitation en hausse de + 10 %.
La baisse du chiffre d'affaires de 8,8 % due à l'influenza aviaire (à 1,336 milliard d'€) a nécessité le redressement de ses résultats financiers. La mobilisation de l'ensemble des adhérents, administrateurs et salariés ainsi qu'un plan d'économies général ont permis d'assainir sa situation financière. Le résultat net consolidé du groupe remonte à 4,8 millions d'€, quant à l'excédent brut d'exploitation (EBE), il augmente de 10 % pour atteindre 39,3 millions, soit 3 % du CA consolidé.
Acteur majeur de la filière palmipèdes, MAÏSADOUR a joué un rôle-clé dans la mise en place d'un dispositif de biosécurité afin de minimiser l'impact d'une éventuelle nouvelle exposition au virus. Le groupe a investi 3 millions d'euros pour accompagner ses quelque 1 000 producteurs impactés et pour sécuriser ses filières de production de palmipèdes à foie gras et volailles (accouvage, élevage, transport...).
2018/2026 : un plan stratégique de reconquête et de sécurisation- Toute crise est une opportunité : celle de remettre à plat ses méthodes et de se fixer de nouveaux objectifs. Pour structurer ses ambitions dans le temps et organiser le développement dans un contexte agricole et agroalimentaire mouvant, le groupe a lancé un projet stratégique intitulé « MAÏSADOUR 2026" qui réaffirme sa mission première et son territoire : "un Groupe bâti sur des filières du champ à l'assiette, au service de ses agriculteurs et du développement du grand Sud-Ouest".
Pour y parvenir quatre axes ont été fixés:
• L'adhérent au cœur de la démarche : meilleure valorisation des productions et du service
• S'adapter aux nouvelles attentes des consommateurs
• Adaptation de la culture et de l'organisation
• L'international, relais de croissance
Michel Prugue, président de Maïsadour, commentait ainsi les objectifs : "Notre modèle coopératif a une modernité et une pertinence qui doivent nous permettre de réussir dans un monde en mutation permanente tant du point de vue de la consommation que de la production".
( D'après le communiqué )
- UN PLAN D'ECONOMIE
La baisse du chiffre d'affaires de 8,8 % due à l'influenza aviaire (à 1,336 milliard d'€) a nécessité le redressement de ses résultats financiers. La mobilisation de l'ensemble des adhérents, administrateurs et salariés ainsi qu'un plan d'économies général ont permis d'assainir sa situation financière. Le résultat net consolidé du groupe remonte à 4,8 millions d'€, quant à l'excédent brut d'exploitation (EBE), il augmente de 10 % pour atteindre 39,3 millions, soit 3 % du CA consolidé.
Acteur majeur de la filière palmipèdes, MAÏSADOUR a joué un rôle-clé dans la mise en place d'un dispositif de biosécurité afin de minimiser l'impact d'une éventuelle nouvelle exposition au virus. Le groupe a investi 3 millions d'euros pour accompagner ses quelque 1 000 producteurs impactés et pour sécuriser ses filières de production de palmipèdes à foie gras et volailles (accouvage, élevage, transport...).
2018/2026 : un plan stratégique de reconquête et de sécurisation- Toute crise est une opportunité : celle de remettre à plat ses méthodes et de se fixer de nouveaux objectifs. Pour structurer ses ambitions dans le temps et organiser le développement dans un contexte agricole et agroalimentaire mouvant, le groupe a lancé un projet stratégique intitulé « MAÏSADOUR 2026" qui réaffirme sa mission première et son territoire : "un Groupe bâti sur des filières du champ à l'assiette, au service de ses agriculteurs et du développement du grand Sud-Ouest".
Pour y parvenir quatre axes ont été fixés:
• L'adhérent au cœur de la démarche : meilleure valorisation des productions et du service
• S'adapter aux nouvelles attentes des consommateurs
• Adaptation de la culture et de l'organisation
• L'international, relais de croissance
Michel Prugue, président de Maïsadour, commentait ainsi les objectifs : "Notre modèle coopératif a une modernité et une pertinence qui doivent nous permettre de réussir dans un monde en mutation permanente tant du point de vue de la consommation que de la production".
( D'après le communiqué )