La mairie de Bordeaux communique:
"Mardi 23 janvier 2018, Alain Juppé maire de Bordeaux et président de Bordeaux Métropole a réuni ses homologues et présidents d’EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) gérant les équipements fluviaux dédiés à la croisière fluviale en Gironde.
Tous ont appelé fermement l’attention des pouvoirs publics sur la fragilité de ce secteur, en proposant plusieurs mesures urgentes de renforcement de la filière, stratégiques pour le développement touristique et économique du territoire. L’objectif est de favoriser la progression de la croisière fluviale et d’accroitre l’usage de la voie d’eau comme mode de déplacement au sein de l’estuaire de la Gironde, de la Dordogne et de la Garonne.
Constats et propositions:
1/ Un potentiel de doublement de la flotte des paquebots fluviaux sur le bassin de navigation Garonne, Gironde, Dordogne dans les années à venir, sous réserve de créer les conditions réglementaires et économiques propices à ce développement, en particulier des coûts par bateau.
2/ Une volonté partagée de poursuivre les investissements en infrastructure fluviale, en rappelant l’urgence d’un nouveau ponton sur la Garonne amont.
3/ La nécessité de baliser les ponts, notamment sur la Dordogne.
4/ L’ouverture de la navigation vers Royan, dès lors que les conditions nautiques le permettent, pour étendre un réseau de navigation à ce jour limité en distance, et augmenter l’attractivité de la destination (évolution législative nécessaire avec accompagnement technique et réglementaire des services de l’État).
5/ Le renforcement du niveau de service et de la qualité pour l’hivernage des bateaux.
6/ La fin de l’obligation de recourir au service de pilotage pour les 135 m, au moins sur certains tronçons de navigation dans un premier temps, dès lors que les commandants ont la qualification et l’expérience requise, ceci afin de limiter les coûts d’exploitation des compagnies et de pérenniser leur présence (intra Bordeaux, entre Bourg et Libourne, etc.).
7/ Un réel potentiel de la voie d’eau à conforter pour favoriser le transport des personnes et des marchandises au sein même de notre bassin de navigation, entre nos villes.
8/ Les maires et présidents des EPCI en charge des équipements fluviaux ont décidé de se réunir régulièrement, pour favoriser la progression de la croisière fluviale, filière stratégique du développement touristique et économique local."
"Mardi 23 janvier 2018, Alain Juppé maire de Bordeaux et président de Bordeaux Métropole a réuni ses homologues et présidents d’EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) gérant les équipements fluviaux dédiés à la croisière fluviale en Gironde.
Tous ont appelé fermement l’attention des pouvoirs publics sur la fragilité de ce secteur, en proposant plusieurs mesures urgentes de renforcement de la filière, stratégiques pour le développement touristique et économique du territoire. L’objectif est de favoriser la progression de la croisière fluviale et d’accroitre l’usage de la voie d’eau comme mode de déplacement au sein de l’estuaire de la Gironde, de la Dordogne et de la Garonne.
Constats et propositions:
1/ Un potentiel de doublement de la flotte des paquebots fluviaux sur le bassin de navigation Garonne, Gironde, Dordogne dans les années à venir, sous réserve de créer les conditions réglementaires et économiques propices à ce développement, en particulier des coûts par bateau.
2/ Une volonté partagée de poursuivre les investissements en infrastructure fluviale, en rappelant l’urgence d’un nouveau ponton sur la Garonne amont.
3/ La nécessité de baliser les ponts, notamment sur la Dordogne.
4/ L’ouverture de la navigation vers Royan, dès lors que les conditions nautiques le permettent, pour étendre un réseau de navigation à ce jour limité en distance, et augmenter l’attractivité de la destination (évolution législative nécessaire avec accompagnement technique et réglementaire des services de l’État).
5/ Le renforcement du niveau de service et de la qualité pour l’hivernage des bateaux.
6/ La fin de l’obligation de recourir au service de pilotage pour les 135 m, au moins sur certains tronçons de navigation dans un premier temps, dès lors que les commandants ont la qualification et l’expérience requise, ceci afin de limiter les coûts d’exploitation des compagnies et de pérenniser leur présence (intra Bordeaux, entre Bourg et Libourne, etc.).
7/ Un réel potentiel de la voie d’eau à conforter pour favoriser le transport des personnes et des marchandises au sein même de notre bassin de navigation, entre nos villes.
8/ Les maires et présidents des EPCI en charge des équipements fluviaux ont décidé de se réunir régulièrement, pour favoriser la progression de la croisière fluviale, filière stratégique du développement touristique et économique local."