L' Agence Hémisphère Sud nous communique au nom des opposants à la LGV dans la régions Sauternes-Barsac (33):
"Ce projet de ligne à grande vitesse Bordeaux-Dax constituait une réelle menace pour les appellations Sauternes et Barsac par la coupure en plus de trois endroits de la rivière du Ciron, responsable du microclimat sauternais et de l’apparition du botrytis. Plus de 170 propriétés viticoles étaient ainsi menacées par ce tracé.
Au-delà de l’impact désastreux pour le monde viticole, le tracé imaginé par R.F.F traversait une zone classée Natura 2000, riche de plus de 4800 hectares de terres agricoles et de forêts. En décembre 2014, les vignerons de Sauternes et Barsac avaient donné l’alerte et appelé à la mobilisation de l’opinion publique afin de donner un avis négatif à cette enquête publique.
"Les vignerons de Sauternes et Barsac se félicitent aujourd’hui de cette première avancée favorable mais restent mobilisés. Ils remercient tous les acteurs qui ont participé à cette prise de position et répondu à l’enquête publique.
Le gouvernement a jusqu’en juin pour se prononcer après avis du Conseil d’Etat"
Voir notre article et notre vidéo réalisés en décembre dernier
"Ce projet de ligne à grande vitesse Bordeaux-Dax constituait une réelle menace pour les appellations Sauternes et Barsac par la coupure en plus de trois endroits de la rivière du Ciron, responsable du microclimat sauternais et de l’apparition du botrytis. Plus de 170 propriétés viticoles étaient ainsi menacées par ce tracé.
Au-delà de l’impact désastreux pour le monde viticole, le tracé imaginé par R.F.F traversait une zone classée Natura 2000, riche de plus de 4800 hectares de terres agricoles et de forêts. En décembre 2014, les vignerons de Sauternes et Barsac avaient donné l’alerte et appelé à la mobilisation de l’opinion publique afin de donner un avis négatif à cette enquête publique.
"Les vignerons de Sauternes et Barsac se félicitent aujourd’hui de cette première avancée favorable mais restent mobilisés. Ils remercient tous les acteurs qui ont participé à cette prise de position et répondu à l’enquête publique.
Le gouvernement a jusqu’en juin pour se prononcer après avis du Conseil d’Etat"
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