L'AGPM (Association Générale des Producteurs de Maïs) souligne que "le maïs démontre tout son intérêt comme assurance fourrage dans les zones d’élevage". Mais, ajoute-telle, "plus que jamais résolue à s’adapter aux évolutions, tant climatiques que sociétales, l’AGPM demande d’avantage d’outils pour inscrire la maïsiculture française dans l’avenir".
93 QX HA- En dépit d’une campagne climatique compliquée (inondations au printemps, canicule, sécheresse), l’institut technique Arvalis évalue le rendement moyen en maïs grain à près de 93 qx/ha. Cette année encore le maïs aura été une ressource salutaire pour les élevages, quand les prairies ne pouvaient être au rendez-vous en période de sécheresse. Plus de 50 000 ha de maïs grain auraient en effet été récoltés en fourrage dans l’Est et en Pays de Loire.
DE L'EAU- "L’irrigation démontre, une nouvelle fois, tout son intérêt pour les territoires" souligne l'Association.
"Mais pour jouer pleinement son rôle, le maïs doit pouvoir s’adapter au changement climatique grâce à quelques leviers impératifs à mettre en oeuvre" rappelle l'AGPM. Devant l’évidence du changement climatique, qui s’impose à tous les secteurs d’activité, il est urgent d’initier une ambitieuse politique de stockage de l’eau".
Daniel Peyraube, président, commente: « 2018 montre que le maïs reste dans la course. Et même si c’est une course d’obstacles, ces obstacles nous avons tout pour les franchir : l’innovation et les débouchés de la culture, en témoigne la croissance des importations européennes de maïs et la multiplication des enjeux sociétaux (changement climatique, biomasse, moindre recours à la chimie,…). Le maïs a des réponses et ne demande qu’à les mettre en place.»
93 QX HA- En dépit d’une campagne climatique compliquée (inondations au printemps, canicule, sécheresse), l’institut technique Arvalis évalue le rendement moyen en maïs grain à près de 93 qx/ha. Cette année encore le maïs aura été une ressource salutaire pour les élevages, quand les prairies ne pouvaient être au rendez-vous en période de sécheresse. Plus de 50 000 ha de maïs grain auraient en effet été récoltés en fourrage dans l’Est et en Pays de Loire.
DE L'EAU- "L’irrigation démontre, une nouvelle fois, tout son intérêt pour les territoires" souligne l'Association.
"Mais pour jouer pleinement son rôle, le maïs doit pouvoir s’adapter au changement climatique grâce à quelques leviers impératifs à mettre en oeuvre" rappelle l'AGPM. Devant l’évidence du changement climatique, qui s’impose à tous les secteurs d’activité, il est urgent d’initier une ambitieuse politique de stockage de l’eau".
Daniel Peyraube, président, commente: « 2018 montre que le maïs reste dans la course. Et même si c’est une course d’obstacles, ces obstacles nous avons tout pour les franchir : l’innovation et les débouchés de la culture, en témoigne la croissance des importations européennes de maïs et la multiplication des enjeux sociétaux (changement climatique, biomasse, moindre recours à la chimie,…). Le maïs a des réponses et ne demande qu’à les mettre en place.»