Ph Paysud
Production et alimentation "bio" ont incontestablement le vent en poupe. Les collectivités et la filière régionale "bio" se retrouvent ainsi pour promouvoir ces aliments réputés aussi bons que bios, et excellents pour la santé. Des avantages dont on veut faire bénéficier, non pas seulement au foyer, mais en restauration collective. C'est dans cette optique que l'interprofession aquitaine ARBIO organisait à Bordeaux les premières rencontres sur le sujet, doublées d'un mini salon regroupant une soixantaine d'exposants. Ce sont ainsi 40 groupements de producteurs, des transformateurs, des distributeurs, et 28 viticulteurs du Syndicat des Vignerons bio d'Aquitaine qui participaient à l'opération.
Toute la gamme- De l'entrée au dessert, toute la gamme des produits disponibles était ainsi centralisée, et surtout visible et appréciable-un buffet régional était au programme-ce qui, évidemment, complétait savoureusement l'offre virtuelle que l'on trouve sur Internet. Contact direct aussi avec les quelques 7 000 gestionnaires annoncés qui ont entraîné presque autant de rendez-vous d'affaire. Plusieurs conférences organisées parallèlement devaient permettre d'apporter des éclairages sur des sujets de première importance pour les professionnels. En marge de cette manifestation, les animateurs d'ARBIO -Jérôme Cinel, Olivier du Parc, Antoine Vergier- on dressé l'état des lieux devant la presse en ce qui concerne l'utilisation de l'alimentation bio dans la restauration collective en Aquitaine. Sur la base d'un audit, c'est un accompagnement des collectivités à l'introduction des produits bios qui est proposé. 25 lycées d'Aquitaine ont ainsi fait entrer ces denrées au menu dans le cadre des produits dits de qualité et de proximité.
Du pain à la viande-Des expériences à grande échelle sont également menées en Lot-et-Garonne, en Dordogne, en Gironde dans le cadre d'autres conventions. L'une d'entre elles est conclue avec l'Etat pour des restaurants d'administration (Agen, Pau, Périgueux). Les produits concernés sont surtout le pain, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande. En ce qui concerne le volet économique, les gestionnaires de restaurants collectifs constatent qu'en dépit d'un prix d'achat plus élevé le prix de revient du bio n'est pas plus élevé en raison de déperditions inférieures.
Toute la gamme- De l'entrée au dessert, toute la gamme des produits disponibles était ainsi centralisée, et surtout visible et appréciable-un buffet régional était au programme-ce qui, évidemment, complétait savoureusement l'offre virtuelle que l'on trouve sur Internet. Contact direct aussi avec les quelques 7 000 gestionnaires annoncés qui ont entraîné presque autant de rendez-vous d'affaire. Plusieurs conférences organisées parallèlement devaient permettre d'apporter des éclairages sur des sujets de première importance pour les professionnels. En marge de cette manifestation, les animateurs d'ARBIO -Jérôme Cinel, Olivier du Parc, Antoine Vergier- on dressé l'état des lieux devant la presse en ce qui concerne l'utilisation de l'alimentation bio dans la restauration collective en Aquitaine. Sur la base d'un audit, c'est un accompagnement des collectivités à l'introduction des produits bios qui est proposé. 25 lycées d'Aquitaine ont ainsi fait entrer ces denrées au menu dans le cadre des produits dits de qualité et de proximité.
Du pain à la viande-Des expériences à grande échelle sont également menées en Lot-et-Garonne, en Dordogne, en Gironde dans le cadre d'autres conventions. L'une d'entre elles est conclue avec l'Etat pour des restaurants d'administration (Agen, Pau, Périgueux). Les produits concernés sont surtout le pain, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande. En ce qui concerne le volet économique, les gestionnaires de restaurants collectifs constatent qu'en dépit d'un prix d'achat plus élevé le prix de revient du bio n'est pas plus élevé en raison de déperditions inférieures.