L’Interprofession du foie gras, salue le déplacement de Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire, dans l’élevage landais d’Éric Dumas président du CIFOG pour le lancement officiel de la campagne de vaccination contre l’influenza aviaire en France. Pour la filière foie gras qui s’est toujours inscrite dans une démarche responsable, ce lancement marque une étape décisive dans un travail collectif de longue haleine en collaboration avec les vétérinaires, les autorités sanitaires, les services de l’État et les autres filières avicoles. La vaccination est un outil complémentaire aux mesures de biosécurité dans lequel les éleveurs de canards mettent beaucoup d’espoir pour limiter la diffusion du virus.
Après plusieurs épizooties, la filière française, fait ainsi figure de pionnière, à l’avant-garde de la lutte mondiale contre l’Influenza aviaire. Pour Éric Dumas, il s’agit d’ « une réelle lueur d’espoir qui doit permettre de sortir de l’ornière sanitaire dans laquelle notre filière se trouve ».
Ce dispositif de vaccination, avec toutes les mesures de surveillance qui lui sont associées, est une première mondiale : il a pour objectif de protéger tous les élevages d’oiseaux et devrait mettre fin aux abattages préventifs d’animaux, que personne ne veut plus vivre.
C’est aussi la promesse de pouvoir continuer à proposer du foie gras, du magret et du confit aux consommateurs français et internationaux. Dans cette optique, la filière affiche clairement sa volonté : vacciner et exporter. Son engagement en première ligne dans la lutte contre l’influenza aviaire ne doit en effet pas lui fermer les frontières de certains pays importateurs de foie gras français. L’Interprofession met ainsi tout en œuvre aux côtés de l’État pour faire preuve de transparence et de pédagogie à l’international. Aussi, une des prochaines étapes pour aboutir à la réussite de la vaccination, est d'obtenir l'acceptabilité de celle-ci auprès de ses partenaires internationaux.
Véritable défi technique et financier, le coût total de la campagne de vaccination est estimé à environ 96 millions d’euros (achat des vaccins, administration, surveillance…). Pendant les douze prochains mois, 85 % du montant sera financé par l’État et les 15 % restant seront pris en charge par les professionnels de la filière.
(D'après le communiqué du CIFOG)
Après plusieurs épizooties, la filière française, fait ainsi figure de pionnière, à l’avant-garde de la lutte mondiale contre l’Influenza aviaire. Pour Éric Dumas, il s’agit d’ « une réelle lueur d’espoir qui doit permettre de sortir de l’ornière sanitaire dans laquelle notre filière se trouve ».
Ce dispositif de vaccination, avec toutes les mesures de surveillance qui lui sont associées, est une première mondiale : il a pour objectif de protéger tous les élevages d’oiseaux et devrait mettre fin aux abattages préventifs d’animaux, que personne ne veut plus vivre.
C’est aussi la promesse de pouvoir continuer à proposer du foie gras, du magret et du confit aux consommateurs français et internationaux. Dans cette optique, la filière affiche clairement sa volonté : vacciner et exporter. Son engagement en première ligne dans la lutte contre l’influenza aviaire ne doit en effet pas lui fermer les frontières de certains pays importateurs de foie gras français. L’Interprofession met ainsi tout en œuvre aux côtés de l’État pour faire preuve de transparence et de pédagogie à l’international. Aussi, une des prochaines étapes pour aboutir à la réussite de la vaccination, est d'obtenir l'acceptabilité de celle-ci auprès de ses partenaires internationaux.
- 64 millions de canards concernés sur 1 an pour un coût de 96 millions d’euros
Véritable défi technique et financier, le coût total de la campagne de vaccination est estimé à environ 96 millions d’euros (achat des vaccins, administration, surveillance…). Pendant les douze prochains mois, 85 % du montant sera financé par l’État et les 15 % restant seront pris en charge par les professionnels de la filière.
(D'après le communiqué du CIFOG)