La troisième conférence viticole
Le plan "renforcé " de soutien avait été mis en oeuvre en raisons des difficultés que connaissait la viticulture dans les années 2009 et 2010. A quelques mois de la fin du programme d'aide, Jean-Luc Gleyze,vice-président en charge de l'économie solidaire, et les services du Conseil général de la Gironde, ont fait le point au cours d'une conférence qui réunissait les principaux acteurs de la filière. A ce jour 622 dossiers ont été instruits pour un montant total de subvention de 5,45 millions d’euros. 367 émanaient de caves particulières et 74 de coopératives. Les axes de subventions ont porté sur la préservation et la protection des terroirs remarquables, les investissements et l’accompagnement de la production et de la commercialisation des vins, le soutien de la mise en marché organisée, la promotion. L’aide aux caves particulières a représenté 1 081354 €, celle attribuée aux coopératives 1 443 013€. L’enveloppe accordée aux organisations professionnelles et aux communes atteint 2 020 952€.
Aujourd'hui le contexte économique n’est plus tout-à-fait le même, les prix des bordeaux s’étant nettement redressés, passant de 900 à 1020€ le tonneau en moyenne pour le vrac, et le marché du vin en bouteille tirant les ventes grâce aux exportations, en particulier vers la Chine et les pays asiatiques. Jean-Luc Gleyze a tout de même estimé que l’aide du département « a contribué à consolider le redressement ».
Le président de la FDSEA Patrick Vasseur a affirmé cependant que les cours des bordeaux ne font que retrouver ceux qui existaient il y a 10 ans, "mais pendant le même temps les charges de production ont augmenté de 40 à 150%". Le directeur du CIVB, Roland Feredje s'est montré quant à lui pessimiste quant aux perspectives du marché des bordeaux au cours des prochains moins en raison de la situation économique en Europe. On ne sait pas encore ce que sera la politique viticole du département dès 2014.
Aujourd'hui le contexte économique n’est plus tout-à-fait le même, les prix des bordeaux s’étant nettement redressés, passant de 900 à 1020€ le tonneau en moyenne pour le vrac, et le marché du vin en bouteille tirant les ventes grâce aux exportations, en particulier vers la Chine et les pays asiatiques. Jean-Luc Gleyze a tout de même estimé que l’aide du département « a contribué à consolider le redressement ».
Le président de la FDSEA Patrick Vasseur a affirmé cependant que les cours des bordeaux ne font que retrouver ceux qui existaient il y a 10 ans, "mais pendant le même temps les charges de production ont augmenté de 40 à 150%". Le directeur du CIVB, Roland Feredje s'est montré quant à lui pessimiste quant aux perspectives du marché des bordeaux au cours des prochains moins en raison de la situation économique en Europe. On ne sait pas encore ce que sera la politique viticole du département dès 2014.