La CFA (Confédération Française de l'Aviculture) communique:
"Les actions menées ces derniers jours par les éleveurs mettent en exergue les très graves difficultés des productions bovine, porcine et laitière.
L'aviculture n'est pas en reste. Si la situation des filières avicoles est bien moins dramatique, les prix à la production des éleveurs de volailles, d'œufs, de lapins et de palmipèdes gras sont insuffisants pour assurer le nécessaire renouvellement des investissements.
Aujourd'hui un récent investisseur ne dégage pas de revenu qui lui permette de vivre correctement de son métier. Les résultats de l’enquête avicole réalisée par les chambres d’agriculture de l’Ouest sur l’année 2014 confirment ces éléments et démontrent qu’il est toujours difficile de s’installer en aviculture surtout avec un bâtiment neuf.
Comment, dans ces conditions, la production de volailles de chair pourrait-elle rester attractive alors qu'elle a tant besoin de renouveler un parc de bâtiments vieillissant et de trouver des jeunes pour assurer l'avenir de la production.
La CFA appelle ses partenaires d'aval et de la grande distribution à rouvrir sans délais les négociations commerciales dans l'ensemble des productions avicoles. Ce besoin de revalorisation est clairement démontré en production de volailles de chair par l'indicateur officiel publié par le Ministère de l’Agriculture."
"Les actions menées ces derniers jours par les éleveurs mettent en exergue les très graves difficultés des productions bovine, porcine et laitière.
L'aviculture n'est pas en reste. Si la situation des filières avicoles est bien moins dramatique, les prix à la production des éleveurs de volailles, d'œufs, de lapins et de palmipèdes gras sont insuffisants pour assurer le nécessaire renouvellement des investissements.
Aujourd'hui un récent investisseur ne dégage pas de revenu qui lui permette de vivre correctement de son métier. Les résultats de l’enquête avicole réalisée par les chambres d’agriculture de l’Ouest sur l’année 2014 confirment ces éléments et démontrent qu’il est toujours difficile de s’installer en aviculture surtout avec un bâtiment neuf.
Comment, dans ces conditions, la production de volailles de chair pourrait-elle rester attractive alors qu'elle a tant besoin de renouveler un parc de bâtiments vieillissant et de trouver des jeunes pour assurer l'avenir de la production.
La CFA appelle ses partenaires d'aval et de la grande distribution à rouvrir sans délais les négociations commerciales dans l'ensemble des productions avicoles. Ce besoin de revalorisation est clairement démontré en production de volailles de chair par l'indicateur officiel publié par le Ministère de l’Agriculture."