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Le Comité intergouvernemental de sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) de l’UNESCO, réuni à Kasane (République du Botswana), du 4 au 9 décembre 2023 sous la présidence de la République du Botswana, vient de valider la candidature de « la Transhumance, déplacement saisonnier de troupeaux » présentée par l’Albanie, Andorre, l’Autriche, la Croatie, la France, la Grèce, l’Italie, le Luxembourg, la Roumanie et l’Espagne, dans le prolongement de la démarche faite en 2019 par l’Italie, la Grèce et l’Autriche.
Cette décision est le résultat d’un travail collectif de longue haleine initié par la France en 2019, par les acteurs du Pastoralisme et de l’Elevage regroupés au sein d’un Comité de Pilotage animé par le Collectif des Races Locales de Massif (CORAM). Ce comité réunit représentants de l’Etat, organismes agricoles et autres acteurs des territoires. En 2020, ce comité avait déjà abouti à une inclusion des savoir-faire et des pratiques de la transhumance en France à l’inventaire national du patrimoine culturel immatériel.
Pour Jean-Luc Chauvel et Olivier Maurin, co-présidents du Comité de Pilotage au titre du CORAM : « Cette inscription est un hommage fort rendu par l’UNESCO aux éleveurs, bergers et vachers transhumants qui, par leurs pratiques et leur passion pour leur métier, leurs animaux et leur territoire font vivre cette pratique.
C’est cet attachement qui permet de préserver des filières de qualité basées sur des systèmes d’élevage vertueux, d’entretenir les territoires pastoraux et la biodiversité afin de répondre aux exigences sociétales pour une agriculture plus durable. »
Cette décision est le résultat d’un travail collectif de longue haleine initié par la France en 2019, par les acteurs du Pastoralisme et de l’Elevage regroupés au sein d’un Comité de Pilotage animé par le Collectif des Races Locales de Massif (CORAM). Ce comité réunit représentants de l’Etat, organismes agricoles et autres acteurs des territoires. En 2020, ce comité avait déjà abouti à une inclusion des savoir-faire et des pratiques de la transhumance en France à l’inventaire national du patrimoine culturel immatériel.
Pour Jean-Luc Chauvel et Olivier Maurin, co-présidents du Comité de Pilotage au titre du CORAM : « Cette inscription est un hommage fort rendu par l’UNESCO aux éleveurs, bergers et vachers transhumants qui, par leurs pratiques et leur passion pour leur métier, leurs animaux et leur territoire font vivre cette pratique.
C’est cet attachement qui permet de préserver des filières de qualité basées sur des systèmes d’élevage vertueux, d’entretenir les territoires pastoraux et la biodiversité afin de répondre aux exigences sociétales pour une agriculture plus durable. »