Jumeler un séjour par beau temps au Pays Basque, et un concert littéraire romantique et original, pourquoi pas? C'est en tout cas cette opportunité qui est offerte par le Centre Culturel Eihartzea et l'Association Marmau à Hasparren, le 15 juin.( 19H -Chapelle d’Elizaberri). "Un spectacle sensible né d’une complicité entre le bertsolari Andoni Egaña et le pianiste Xabier Lizaso autour de Chopin et Xenpelar et de ce qui relie le destin de ces deux artistes : leur sœur" soulignent les organisateurs. Pour les non Basques indiquons qu'un bertsolari est un poète, conteur, et improvisateur, un art traditionnel et très en vogue dans cette région. Sur scène la voix du conteur est accompagnée par diverses compositions de Frédéric Chopin, ce qui est une belle façon de promouvoir la musique de celui qui fut le compagnon de George Sand.
"Andoni Egaña, immense bertsolari, écrivain et poète, lit Xenpelar, considéré comme le plus grand bertsolari du XIXème. Avec lui, Xabier Lizaso, pianiste d’Orio, qui a étudié à Madrid, Varsovie, Londres, joue du Chopin. Si le compositeur Frédéric Chopin (Varsovie 1810 – 1849) et le poète et bertsolari Xenpelar (Errenteria 1835-1869) étaient des contemporains, ils avaient aussi bien d’autres points communs : les deux étaient artistes, précurseurs chacun dans leur domaine. Tous deux ont vécu des périodes politiques tourmentées ; les deux sont morts jeunes, 39 ans pour Chopin, 34 pour Xenpelar. Et enfin et surtout, pour les accompagner jusqu’au bout, les deux ont eu leur sœur à leur chevet. C’est ce détail qui a été le déclic, le prétexte à la création de ce spectacle qui fait se croiser les bertsos du poête Xenpelar et la musique de Chopin."
Xabier Lizaso, est une jeune pianiste et concertiste d’Orio, il a parcouru l’Europe pour étudier la musique (Seville, Varsovie, Londres). Passionné par la musique de Chopin, il redonne vie aussi à l’artiste dans ce spectacle avec Andoni Egaña.
L'organisateur - Le Centre Culturel Eihartzea, association loi 1901, propose tout au long de l’année, des rendez vous culturels sur le territoire de la Communauté de Communes du Pays de Hasparren. Son but est de promouvoir la culture sous toutes ses formes d’expressions artistiques (musique, théâtre, art de la rue, danse…). "Le travail en partenariat avec d’autres acteurs locaux est aussi un des enjeux, afin de créer du lien, d’échanger, d’enrichir notre culture, à laquelle nous tenons autant qu’à notre langue, l’euskara, et de toucher un maximum d’habitants du territoire, et d’ailleurs" souligne-t-elle.
"Andoni Egaña, immense bertsolari, écrivain et poète, lit Xenpelar, considéré comme le plus grand bertsolari du XIXème. Avec lui, Xabier Lizaso, pianiste d’Orio, qui a étudié à Madrid, Varsovie, Londres, joue du Chopin. Si le compositeur Frédéric Chopin (Varsovie 1810 – 1849) et le poète et bertsolari Xenpelar (Errenteria 1835-1869) étaient des contemporains, ils avaient aussi bien d’autres points communs : les deux étaient artistes, précurseurs chacun dans leur domaine. Tous deux ont vécu des périodes politiques tourmentées ; les deux sont morts jeunes, 39 ans pour Chopin, 34 pour Xenpelar. Et enfin et surtout, pour les accompagner jusqu’au bout, les deux ont eu leur sœur à leur chevet. C’est ce détail qui a été le déclic, le prétexte à la création de ce spectacle qui fait se croiser les bertsos du poête Xenpelar et la musique de Chopin."
Xabier Lizaso, est une jeune pianiste et concertiste d’Orio, il a parcouru l’Europe pour étudier la musique (Seville, Varsovie, Londres). Passionné par la musique de Chopin, il redonne vie aussi à l’artiste dans ce spectacle avec Andoni Egaña.
L'organisateur - Le Centre Culturel Eihartzea, association loi 1901, propose tout au long de l’année, des rendez vous culturels sur le territoire de la Communauté de Communes du Pays de Hasparren. Son but est de promouvoir la culture sous toutes ses formes d’expressions artistiques (musique, théâtre, art de la rue, danse…). "Le travail en partenariat avec d’autres acteurs locaux est aussi un des enjeux, afin de créer du lien, d’échanger, d’enrichir notre culture, à laquelle nous tenons autant qu’à notre langue, l’euskara, et de toucher un maximum d’habitants du territoire, et d’ailleurs" souligne-t-elle.