Mauvaise année en perspective pour la filière maïs: L'AGPM tire la sonnette d'alarme:
A l’aube des récoltes de maïs grain, les membres du bureau de l’Association Générale des Producteurs de Maïs ont partagé les perspectives à venir pour la récolte de maïs. S’il n’est pas encore temps de dresser un bilan, le constat est sans appel : les productions ont été durement impactées par le climat de l’été, démontrant la nécessité absolue de mieux protéger les producteurs des risques climatiques. Cette protection passera par le développement du stockage de l’eau et la mise en œuvre d’un dispositif assurantiel efficace et accessible. Ces sujets, au cœur de l’agenda politique depuis le Varenne de l’eau, doivent absolument aboutir à des solutions ambitieuses.
Comme l’a précisé Daniel Peyraube, le président de l’AGPM : "Alors que l’approvisionnement en maïs se tend au niveau mondial, la France est le premier pays producteur dans une Union Européenne très déficitaire en maïs. Il est impératif de préserver notre force de production et même de la déployer pour reconstituer nos stocks, notamment en maïs semence et doux, pour la prochaine campagne. Notre culture est vertueuse, la volonté de prendre part à la lutte contre le réchauffement climatique et de contribuer à l’approvisionnement énergétique nous est chevillée au corps. La filière maïs est entièrement mobilisée et compte sur l’engagement de l’État pour soutenir pleinement la production et les conditions favorables à son déploiement".
(Communiqué par l'AGPM)
A l’aube des récoltes de maïs grain, les membres du bureau de l’Association Générale des Producteurs de Maïs ont partagé les perspectives à venir pour la récolte de maïs. S’il n’est pas encore temps de dresser un bilan, le constat est sans appel : les productions ont été durement impactées par le climat de l’été, démontrant la nécessité absolue de mieux protéger les producteurs des risques climatiques. Cette protection passera par le développement du stockage de l’eau et la mise en œuvre d’un dispositif assurantiel efficace et accessible. Ces sujets, au cœur de l’agenda politique depuis le Varenne de l’eau, doivent absolument aboutir à des solutions ambitieuses.
- Une campagne de production difficile
- Le choc assurantiel doit se produire
- Le stockage de l’eau doit se déployer
Comme l’a précisé Daniel Peyraube, le président de l’AGPM : "Alors que l’approvisionnement en maïs se tend au niveau mondial, la France est le premier pays producteur dans une Union Européenne très déficitaire en maïs. Il est impératif de préserver notre force de production et même de la déployer pour reconstituer nos stocks, notamment en maïs semence et doux, pour la prochaine campagne. Notre culture est vertueuse, la volonté de prendre part à la lutte contre le réchauffement climatique et de contribuer à l’approvisionnement énergétique nous est chevillée au corps. La filière maïs est entièrement mobilisée et compte sur l’engagement de l’État pour soutenir pleinement la production et les conditions favorables à son déploiement".
(Communiqué par l'AGPM)