Pas de salon international de l'agriculture à Paris, un salon de de Bordeaux transformé en rendez-vous en ligne, l'agriculture de Nouvelle-Aquitaine se trouvait en panne de communication. Mais la Région et son président, impliqués plus que jamais dans la "transition écologique", les chambres d'agriculture, l'ANAA, agence régionale de communication, ont construit un programme qui comble le vide. Le mois de février sera tout de même celui de l'agriculture. Il marquera même le début d'une série de rendez-vous qui s'étaleront jusqu'au mois de juin.
Ce premier jour de février 2021, hors la tempête Justine, indique d'ailleurs comme un nouveau souffle agricole puisque de leur côté, le même jour, les coopératives dévoilaient l'étude TRACE qui souligne leur impact sur les territoires (nous y reviendrons).
LA SOUVERAINETE A L'ORDRE DU JOUR
Premier rendez-vous, dans le cadre des Rencontres de l’Alimentation, l’AANA lance son cycle de conférence le mercredi 3 février, de 10h30 à 12h. Thème: "la souveraineté alimentaire utopie ou réalité?". On remarque que cette notion de souveraineté revient particulièrement à l'ordre du jour dans les domaines politique et professionnel. Au cours de la présentation Alain Rousset a noté que que cette orientation induit circuits de proximité, développement local de cultures permettant par exemple de limiter les importations de soja du Brésil. La question que posait Jean-Pierre Reynaud (vice-président de la Région) est donc bien de savoir "comment retrouver de la souveraineté nationale, régionale et locale". Pour y répondre les organisateurs de cette conférence -qui se déroulera à la fois en réunion à Bordeaux et en ligne- ont invité Erik Orsenna "chercheur en solutions agricoles", écrivain, académicien; Sébastien Abis, directeur du club DEMETER; Philippe Mauguin, président de l’Institut national de recherche sur l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE). Alain Rousset qui estime nécessaire " de faire en sorte que l'alimentation soit un élément essentiel de la transition" y participera également.
D'autres conférences sont programmées:
Ce premier jour de février 2021, hors la tempête Justine, indique d'ailleurs comme un nouveau souffle agricole puisque de leur côté, le même jour, les coopératives dévoilaient l'étude TRACE qui souligne leur impact sur les territoires (nous y reviendrons).
LA SOUVERAINETE A L'ORDRE DU JOUR
Premier rendez-vous, dans le cadre des Rencontres de l’Alimentation, l’AANA lance son cycle de conférence le mercredi 3 février, de 10h30 à 12h. Thème: "la souveraineté alimentaire utopie ou réalité?". On remarque que cette notion de souveraineté revient particulièrement à l'ordre du jour dans les domaines politique et professionnel. Au cours de la présentation Alain Rousset a noté que que cette orientation induit circuits de proximité, développement local de cultures permettant par exemple de limiter les importations de soja du Brésil. La question que posait Jean-Pierre Reynaud (vice-président de la Région) est donc bien de savoir "comment retrouver de la souveraineté nationale, régionale et locale". Pour y répondre les organisateurs de cette conférence -qui se déroulera à la fois en réunion à Bordeaux et en ligne- ont invité Erik Orsenna "chercheur en solutions agricoles", écrivain, académicien; Sébastien Abis, directeur du club DEMETER; Philippe Mauguin, président de l’Institut national de recherche sur l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE). Alain Rousset qui estime nécessaire " de faire en sorte que l'alimentation soit un élément essentiel de la transition" y participera également.
D'autres conférences sont programmées:
- 26 mars:"manger numérique"
- Avril: circuits courts et de proximité
- Mai : Le rôle et la place des signes d'identification et de qualité et de l'origine dans la souveraineté alimentaire
- Juin: La grande distribution à l'heure du local. Relocalisation de l'alimentation?