La FDSEA et les JA33 communiquent:
"Ce 5 novembre 2014 les réseaux des syndicats agricoles majoritaires FNSEA et Jeunes Agriculteurs ont exprimé le ras-le-bol des exploitants agricoles vis-à-vis de la surenchère réglementaire incessante qui paralyse le fonctionnement de leurs exploitations, décourage de plus en plus d’entre eux de continuer et les jeunes de rentrer dans le métier.
La FDSEA et les JA de la Gironde ont choisi la voie pédagogique pour faire prendre conscience aux pouvoirs publics et aux élus locaux des effets dévastateurs que peut avoir la masse des contraintes réglementaires qui écrase les exploitations agricoles.
Tandis que s’accroissent les distorsions de concurrence avec les autres états-membres et les pays tiers de l’UE, ils ont voulu dire « Halte au gaspillage économique et social ! »
La FDSEA et les JA ont donc donné rendez-vous aux Sous-Préfets, parlementaires et aux élus locaux sur quatre exploitations agricoles, pour exposer leurs revendications et échanger avec eux sur les solutions qu’ils entendaient mettre en place pour éviter le désastre économique et social qui a d’ores et déjà débuté.
"Lee messages étaient clairs :
"L’agriculture française est un formidable gisement d’emplois, créateur de richesses pour le pays : Ne le gâchez pas ! L’agriculture familiale est une chance pour la France : Ne la faites pas disparaître ! Élus et Pouvoirs publics : Vos choix seront lourds de conséquences ! Si vous voulez manger français et conserver voire créer des emplois demain, laissez les agriculteurs faire leur métier !"
Parmi les sujets abordés, les conséquences concrètes de la surenchère réglementaire :
-sur l’environnement (Directive Nitrates, entretien des cours d’eau et fossés, Verdissement de la PAC...),
-sur le droit du travail (compte de pénibilité, tentatives récurrentes de suppression des exonérations -sur les emplois saisonniers, application incomplète du CICE en agriculture et atermoiements sur la mise en place d’une TVA-Emploi ou TVA-sociale...),
La survie de notre agriculture est à présent dans les mains des responsables politiques !"
"Ce 5 novembre 2014 les réseaux des syndicats agricoles majoritaires FNSEA et Jeunes Agriculteurs ont exprimé le ras-le-bol des exploitants agricoles vis-à-vis de la surenchère réglementaire incessante qui paralyse le fonctionnement de leurs exploitations, décourage de plus en plus d’entre eux de continuer et les jeunes de rentrer dans le métier.
La FDSEA et les JA de la Gironde ont choisi la voie pédagogique pour faire prendre conscience aux pouvoirs publics et aux élus locaux des effets dévastateurs que peut avoir la masse des contraintes réglementaires qui écrase les exploitations agricoles.
Tandis que s’accroissent les distorsions de concurrence avec les autres états-membres et les pays tiers de l’UE, ils ont voulu dire « Halte au gaspillage économique et social ! »
La FDSEA et les JA ont donc donné rendez-vous aux Sous-Préfets, parlementaires et aux élus locaux sur quatre exploitations agricoles, pour exposer leurs revendications et échanger avec eux sur les solutions qu’ils entendaient mettre en place pour éviter le désastre économique et social qui a d’ores et déjà débuté.
"Lee messages étaient clairs :
"L’agriculture française est un formidable gisement d’emplois, créateur de richesses pour le pays : Ne le gâchez pas ! L’agriculture familiale est une chance pour la France : Ne la faites pas disparaître ! Élus et Pouvoirs publics : Vos choix seront lourds de conséquences ! Si vous voulez manger français et conserver voire créer des emplois demain, laissez les agriculteurs faire leur métier !"
Parmi les sujets abordés, les conséquences concrètes de la surenchère réglementaire :
-sur l’environnement (Directive Nitrates, entretien des cours d’eau et fossés, Verdissement de la PAC...),
-sur le droit du travail (compte de pénibilité, tentatives récurrentes de suppression des exonérations -sur les emplois saisonniers, application incomplète du CICE en agriculture et atermoiements sur la mise en place d’une TVA-Emploi ou TVA-sociale...),
La survie de notre agriculture est à présent dans les mains des responsables politiques !"